Par Jonas Mvouanzi
C’est le président en exercice de la CEEAC, Idriss Déby Itno qui a procédé à la coupure du ruban symbolique, après la signature de la convention de transfert de tous les démembrements du FIPAC à l’organisation sous régionale avec son homologue Congolais Denis Sassou N’Guesso, en présence du président Béninois Thomas Yayi Boni. Le transfert du FIPAC à la CEEAC est la traduction en acte de l’objectif poursuivi par la République du Congo à la genèse dudit projet, illustrée par la tenue du 5 au 10 avril 2007, à Impfondo de la 1ère édition de ce forum, qui cette année marquant son transfert à la communauté organise sa 3ème édition.
A travers ce transfert, la CEEAC se doit alors de poursuivre l’œuvre déjà enclenchée visant à répondre au souci d’intégration de la Communauté autochtone dans le processus de développement des pays de la sous région et de valorisation de leurs connaissances et savoir-faire traditionnels ; une manière de faire la promotion de leurs droits et d’assurer leur émancipation socio-économique.Il devient par conséquent, et comme le veut sa tradition, un haut lieu d’échanges et de partage d’expériences sur la problématique autochtone en Afrique centrale. Le FIPAC offre une opportunité d’expressions des valeurs culturelles et traditionnelles susceptibles de soutenir le développement durable et promouvoir la coopération ainsi que l’intégration sous régionale sur la question autochtone dans le bassin du Congo.
Pour Henri Djombo, ministre congolais de l’économie forestière et du développement durable : « il est donc temps de poursuivre les efforts pour reconnaitre les valeurs culturelles des peuples autochtones, valoriser leur savoir-faire et connaissances traditionnelles et les impliquer dans l’accès et le partage juste et équitable des bénéfices résultant de l’exploitation des ressources génétiques issues de ce terroir, conformément au protocole de Nagoya. Le siège mis à la disposition de la CEEAC ce jour couvre une superficie de 184 hectares.
A travers ce transfert, la CEEAC se doit alors de poursuivre l’œuvre déjà enclenchée visant à répondre au souci d’intégration de la Communauté autochtone dans le processus de développement des pays de la sous région et de valorisation de leurs connaissances et savoir-faire traditionnels ; une manière de faire la promotion de leurs droits et d’assurer leur émancipation socio-économique.Il devient par conséquent, et comme le veut sa tradition, un haut lieu d’échanges et de partage d’expériences sur la problématique autochtone en Afrique centrale. Le FIPAC offre une opportunité d’expressions des valeurs culturelles et traditionnelles susceptibles de soutenir le développement durable et promouvoir la coopération ainsi que l’intégration sous régionale sur la question autochtone dans le bassin du Congo.
Pour Henri Djombo, ministre congolais de l’économie forestière et du développement durable : « il est donc temps de poursuivre les efforts pour reconnaitre les valeurs culturelles des peuples autochtones, valoriser leur savoir-faire et connaissances traditionnelles et les impliquer dans l’accès et le partage juste et équitable des bénéfices résultant de l’exploitation des ressources génétiques issues de ce terroir, conformément au protocole de Nagoya. Le siège mis à la disposition de la CEEAC ce jour couvre une superficie de 184 hectares.