Lors de ce rassemblement annuel, il est question pour les 47 ministres de la santé de définir les priorités en matière de santé pour les 12 prochains moins. Du fait de la pandémie du Covid-19, la session de trois jours a lieu en ligne pour la deuxième année consécutive. En ouvrant la session, Mme la Première ministre du Togo, Victoire Tomegah Dogbé, qui s’exprimait au nom du président Faure Gnassingbé, a appelé à une plus grande solidarité pour garantir l’équité d’accès aux vaccins contre le Covid-19. « La pandémie du Covid-19 a démontré l’impérieuse nécessité d’une solidarité mondiale, en mettant en exergue la nécessité pour chaque pays de rechercher les meilleures protections, tant individuelles que collectives », a déclaré Mme Victoire Tomegah Dogbé.
Afin de renforcer la solidarité mondiale, le directeur général de l’OMS, Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a exhorté les pays africains à soutenir un traité international ou tout autre instrument légal permettant d’améliorer la coopération internationale, concernant la préparation et la riposte à la pandémie. Ce traité pourrait être discuté en novembre lors de la session spéciale de l’Assemblée mondiale de la Santé. Le besoin de tirer les leçons de la pandémie du Covid-19 a trouvé un écho dans la déclaration de Matshidiso Moeti, directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique : « Le Covid-19 représente à la fois une opportunité et un rappel frappant du besoin de repenser les systèmes qui renforcent l’équité, et d’investir davantage dans le développement d’un monde plus sain et plus juste ».
Cette année, le Comité régional est consacré aux différentes façons d’intensifier la riposte à la COVID-19, de relancer les efforts visant à mettre fin à toutes les formes de polio, d’éliminer le cancer du col de l’utérus, ainsi que de renforcer l’utilisation des technologies liées à la santé. La réunion sera aussi l’occasion de discuter des mesures d’amélioration d’un vieillissement sain sur le continent, de même que du renforcement de la lutte contre la tuberculose, le VIH, les infections sexuellement transmissibles et l’hépatite, et de la fin de la méningite d’ici 2030, parmi d’autres priorités clés liées à la santé.
Les délégués au Comité régional débâteront également de la manière d’améliorer l’accès aux technologies d’assistance en Afrique sub-saharienne, où la prévalence de l’invalidité varie de 15 % à 25 %, et où plus de 200 millions de personnes ont besoin d’au moins un produit d’aide technologique. La région vise à avoir 40 % de sa population ayant besoin de produits d’assistance technologique à y accéder d’ici 2030 sans souffrir de difficultés financières. Plus de 400 participants, parmi lesquels les ministres de la santé et les représentants des 47 États membres, ainsi que des agences des Nations Unies, d’organisations intergouvernementales, de la société civile, du monde universitaire et des partenaires de développement, participeront à la réunion.
Afin de renforcer la solidarité mondiale, le directeur général de l’OMS, Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a exhorté les pays africains à soutenir un traité international ou tout autre instrument légal permettant d’améliorer la coopération internationale, concernant la préparation et la riposte à la pandémie. Ce traité pourrait être discuté en novembre lors de la session spéciale de l’Assemblée mondiale de la Santé. Le besoin de tirer les leçons de la pandémie du Covid-19 a trouvé un écho dans la déclaration de Matshidiso Moeti, directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique : « Le Covid-19 représente à la fois une opportunité et un rappel frappant du besoin de repenser les systèmes qui renforcent l’équité, et d’investir davantage dans le développement d’un monde plus sain et plus juste ».
Cette année, le Comité régional est consacré aux différentes façons d’intensifier la riposte à la COVID-19, de relancer les efforts visant à mettre fin à toutes les formes de polio, d’éliminer le cancer du col de l’utérus, ainsi que de renforcer l’utilisation des technologies liées à la santé. La réunion sera aussi l’occasion de discuter des mesures d’amélioration d’un vieillissement sain sur le continent, de même que du renforcement de la lutte contre la tuberculose, le VIH, les infections sexuellement transmissibles et l’hépatite, et de la fin de la méningite d’ici 2030, parmi d’autres priorités clés liées à la santé.
Les délégués au Comité régional débâteront également de la manière d’améliorer l’accès aux technologies d’assistance en Afrique sub-saharienne, où la prévalence de l’invalidité varie de 15 % à 25 %, et où plus de 200 millions de personnes ont besoin d’au moins un produit d’aide technologique. La région vise à avoir 40 % de sa population ayant besoin de produits d’assistance technologique à y accéder d’ici 2030 sans souffrir de difficultés financières. Plus de 400 participants, parmi lesquels les ministres de la santé et les représentants des 47 États membres, ainsi que des agences des Nations Unies, d’organisations intergouvernementales, de la société civile, du monde universitaire et des partenaires de développement, participeront à la réunion.