Ces allégations ont secoué l’Afrique du Sud. Les faits se seraient déroulés alors que la présidente du parlement sud-africain était ministre de la Défense. Durant l’exercice de ses fonctions, elle aurait accepté des pots de vin. Au cours d’une audience du tribunal, les procureurs sud-africains ont soulevé cette affaire. Parmi les documents judiciaires soumis pour l’audience, les procureurs affirment que Mapisa-Nqakula a reçu 11 paiements d’un montant total de 135 000 dollars entre décembre 2016 et juillet 2019. L’ancienne ministre de la Défense aurait également demandé un autre pot-de-vin de 105 000 dollars, qui n’aurait pas été payé. En février 2019, elle aurait reçu plus de 15 000 dollars et une perruque lors d’une réunion à l’aéroport international de l’Afrique du Sud.
Mapisa-Nqakula aurait nié les faits qui lui sont reprochés. Elle a déclaré qu’elle coopérait avec les autorités après la perquisition de son domicile à Johannesburg et la saisie de quelques éléments de preuve. Pour l’heure, elle se serait mise en congé de son poste de présidente du Parlement. Il faut dire qu’elle aurait déjà été accusée d’avoir accepté des pots-de-vin et l’enquête parlementaire aurait été abandonnée en 2021. L’affaire aurait refait surface après qu’un dénonciateur se soit manifesté l’an dernier. À noter que la personne qui aurait payé les pots-de-vin n’a toujours pas été nommée. Le juge devait se prononcer sur la suspension et l’arrestation le lundi prochain.
Mapisa-Nqakula aurait nié les faits qui lui sont reprochés. Elle a déclaré qu’elle coopérait avec les autorités après la perquisition de son domicile à Johannesburg et la saisie de quelques éléments de preuve. Pour l’heure, elle se serait mise en congé de son poste de présidente du Parlement. Il faut dire qu’elle aurait déjà été accusée d’avoir accepté des pots-de-vin et l’enquête parlementaire aurait été abandonnée en 2021. L’affaire aurait refait surface après qu’un dénonciateur se soit manifesté l’an dernier. À noter que la personne qui aurait payé les pots-de-vin n’a toujours pas été nommée. Le juge devait se prononcer sur la suspension et l’arrestation le lundi prochain.