Le tchadien Dr. Brahim Seïd est nommé secrétaire exécutif de l'Agence panafricaine de la grande muraille verte, à l'issue du sommet des chefs d’État de ladite organisation tenu ce 2 décembre par visioconférence.
"Félicitations à notre compatriote et bravo à toute l'équipe qui a travaillé pour la réussite de cette candidature", a réagi le président du Conseil militaire de transition (CMT), Mahamat Idriss Deby.
L'Agence panafricaine de la grande muraille verte est une agence interétatique, créée en 2010, sous l'égide de l'Union africaine et de la CEN-SAD, par les états sahélo sahariens pour gérer le projet de grande muraille verte.
L’opérationnalisation englobe actuellement la bande au Sud du Sahara, zone fragile et particulièrement exposée aux crises récurrentes et devrait être étendue à celle au Nord du Sahara.
La désertification, le changement climatique et la dégradation des terres impactent fortement sur les principaux leviers de croissance économique, de cohésion sociale, de stabilité et de sécurité des Etats sahélo-sahariens. La récurrence et la recrudescence des impacts malgré divers plans d’action de lutte, rappelaient l’urgence d’une approche régionale basée sur un engagement commun, des actions concertées.
"Félicitations à notre compatriote et bravo à toute l'équipe qui a travaillé pour la réussite de cette candidature", a réagi le président du Conseil militaire de transition (CMT), Mahamat Idriss Deby.
L'Agence panafricaine de la grande muraille verte est une agence interétatique, créée en 2010, sous l'égide de l'Union africaine et de la CEN-SAD, par les états sahélo sahariens pour gérer le projet de grande muraille verte.
L’opérationnalisation englobe actuellement la bande au Sud du Sahara, zone fragile et particulièrement exposée aux crises récurrentes et devrait être étendue à celle au Nord du Sahara.
La désertification, le changement climatique et la dégradation des terres impactent fortement sur les principaux leviers de croissance économique, de cohésion sociale, de stabilité et de sécurité des Etats sahélo-sahariens. La récurrence et la recrudescence des impacts malgré divers plans d’action de lutte, rappelaient l’urgence d’une approche régionale basée sur un engagement commun, des actions concertées.