Parmi les sujets à l’ordre du jour portent sur la crise des réfugiés, la réalisation des objectifs de développement durable, la guerre contre le terrorisme, ces problèmes que partagent un certain nombre de nations africaines. Dans le discours, l'accent sera mis sur l'expérience camerounaise de ces problèmes. La lutte contre le Covid-19 au Cameroun se poursuit avec vigueur. Les succès de la campagne de vaccination rapide contre le Covid-19, au cours de laquelle 52 000 personnes ont été vaccinées à travers le Cameroun en cinq jours en juillet, ont été cruciaux.
De nombreux responsables locaux ont travaillé avec plus de 300 mobilisateurs communautaires locaux et 1450 équipes de vaccination, obtenant des progrès semaine après semaine, dans tout le pays. La population camerounaise est assez jeune et bien que généralement bien informée, tout le monde n'est pas conscient de tous les risques liés au Covid-19, de sorte que tout le monde n'adhère pas aux mesures de prévention ou ne tient pas à se faire vacciner. Malgré le flot d'informations sur le Covid-19, la crainte, le doute et le scepticisme persistent autour de la vaccination. Les rumeurs et la désinformation qui se répandent sur les médias sociaux et qui sont inventées par certaines personnes sèment le doute et la méfiance à l'égard de la vaccination, ce qui expose les gens à un risque accru. Le processus au Cameroun va largement de pair avec l'éducation et la vaccination.
Crise des réfugiés
Selon la HCNUR, la région du Cameroun abrite près d'un demi-million de réfugiés, principalement originaires du Nigeria et de la RCA. Ceci est principalement dû aux crises violentes dans la région. Le Cameroun abrite aujourd'hui près de 2 000 000 de réfugiés, de demandeurs d'asile et de Camerounais déplacés à l'intérieur du pays qui cherchent refuge, indique l'agence pour les réfugiés. Sur ces 2 millions de réfugiés, près d'un demi-million, 322 000 ont fui les violences en République centrafricaine voisine et 117 000 Nigérians ont échappé au terrorisme de Boko Haram. Les autres sont des Nigérians et des Tchadiens. Comme la violence persiste, de plus en plus de personnes et de familles risquent de rejoindre ces effectifs. La crise des réfugiés affecte également l'approche de l'éradication du Covid-19.
L'augmentation du nombre de personnes signifie que le gouvernement doit effectuer davantage de tests et de contrôles pour garantir l'intégrité. L'action d'organisations comme la HCNUR facilite le processus bureaucratique et est très appréciée par les autorités. En ce qui concerne les objectifs de développement durable, le Covid-19 a une fois de plus joué un rôle. Les nombreux problèmes posés par la pandémie ont ralenti les progrès réalisés dans le cadre de l'Agenda 2030 adopté par la nation membre de l'ONU en septembre 2015.
Les effets sur la croissance de l'économie afin d'éradiquer la pauvreté et la faim. Le confinement imposé par le gouvernement camerounais pour tenter de contrôler la propagation du virus a entraîné la fermeture d'écoles. Après la levée du confinement, les enfants ont repris les cours, mais ce n'est pas le cas dans tout le pays. Les régions touchées par le conflit violent obligent toujours les enfants à rester à la maison, ce qui réduit l'objectif du pays en matière d'éducation. Ces questions, et quelques autres, devraient être soulevées lors de l'assemblée et traitées par la suite, ce qui permettra au pays de faire un pas de plus dans la bonne direction pour offrir de meilleures conditions de vie aux citoyens.
De nombreux responsables locaux ont travaillé avec plus de 300 mobilisateurs communautaires locaux et 1450 équipes de vaccination, obtenant des progrès semaine après semaine, dans tout le pays. La population camerounaise est assez jeune et bien que généralement bien informée, tout le monde n'est pas conscient de tous les risques liés au Covid-19, de sorte que tout le monde n'adhère pas aux mesures de prévention ou ne tient pas à se faire vacciner. Malgré le flot d'informations sur le Covid-19, la crainte, le doute et le scepticisme persistent autour de la vaccination. Les rumeurs et la désinformation qui se répandent sur les médias sociaux et qui sont inventées par certaines personnes sèment le doute et la méfiance à l'égard de la vaccination, ce qui expose les gens à un risque accru. Le processus au Cameroun va largement de pair avec l'éducation et la vaccination.
Crise des réfugiés
Selon la HCNUR, la région du Cameroun abrite près d'un demi-million de réfugiés, principalement originaires du Nigeria et de la RCA. Ceci est principalement dû aux crises violentes dans la région. Le Cameroun abrite aujourd'hui près de 2 000 000 de réfugiés, de demandeurs d'asile et de Camerounais déplacés à l'intérieur du pays qui cherchent refuge, indique l'agence pour les réfugiés. Sur ces 2 millions de réfugiés, près d'un demi-million, 322 000 ont fui les violences en République centrafricaine voisine et 117 000 Nigérians ont échappé au terrorisme de Boko Haram. Les autres sont des Nigérians et des Tchadiens. Comme la violence persiste, de plus en plus de personnes et de familles risquent de rejoindre ces effectifs. La crise des réfugiés affecte également l'approche de l'éradication du Covid-19.
L'augmentation du nombre de personnes signifie que le gouvernement doit effectuer davantage de tests et de contrôles pour garantir l'intégrité. L'action d'organisations comme la HCNUR facilite le processus bureaucratique et est très appréciée par les autorités. En ce qui concerne les objectifs de développement durable, le Covid-19 a une fois de plus joué un rôle. Les nombreux problèmes posés par la pandémie ont ralenti les progrès réalisés dans le cadre de l'Agenda 2030 adopté par la nation membre de l'ONU en septembre 2015.
Les effets sur la croissance de l'économie afin d'éradiquer la pauvreté et la faim. Le confinement imposé par le gouvernement camerounais pour tenter de contrôler la propagation du virus a entraîné la fermeture d'écoles. Après la levée du confinement, les enfants ont repris les cours, mais ce n'est pas le cas dans tout le pays. Les régions touchées par le conflit violent obligent toujours les enfants à rester à la maison, ce qui réduit l'objectif du pays en matière d'éducation. Ces questions, et quelques autres, devraient être soulevées lors de l'assemblée et traitées par la suite, ce qui permettra au pays de faire un pas de plus dans la bonne direction pour offrir de meilleures conditions de vie aux citoyens.
Une femme qui a fui la violente rébellion en République centrafricaine (RCA) attend le processus d'identification à Garoua Boulai. ©UNHCR