Ban Ki Moon exige que le peuple Marocain le respecte. Prend-il ses rêves pour des réalités ?
Suite à la manifestation monstre (3 millions de personnes) qui s'est déroulée à Rabat le 13 mars 2016 en protestation à ses propos et son comportement scandaleux qui ont insulté le Maroc et le peuple marocain, mais aussi souillé la fonction de Secrétaire Général de l'ONU, Monsieur Ban Ki Moon, futur ex-Secrétaire Général de l'organisation onusienne, exige du respect. De quel respect parle-t-on ?
La réponse des autorités marocaines à cette exigence outrancière ne s'est pas faite attendre. Rabat a décidé de réduire drastiquement la composante civile et politique de la MINURSO, d'annuler sa contribution volontaire à son fonctionnement et d'examiner la possibilité de rappeler des contingents militaires marocains opérant sous la bannière de l'ONU à travers le monde.
Joignant l'acte à la parole, une liste exhaustive des personnes concernées par cette réduction a été déposée au Secrétariat Général de l'ONU avec injonction qu'elles quittent le territoire national marocain dans les plus brefs délais, alors que des mesures concrètes ont été prises pour l'annulation de la contribution volontaire marocaine.
Tel est le résultat affligeant de la tournée de BAN Ki Moon dans la région.
En effet, Ban Ki Moon a totalement bafoué la fonction de Secrétaire Général de l'ONU, car selon la Charte de cette organisation, il ne peut visiter officiellement que les Etats reconnus par l'ONU.
Ensuite, il s'est permis de se prosterner devant le chiffon d'un Etat fantoche qui ne flotte même pas sur la façade de l'organisation internationale qu'il dirige.
Par ailleurs, il a osé qualifier la présence marocaine dans son Sahara "d'occupation", un terme qui n'a jamais été usité par les résolutions du Conseil de Sécurité de l'ONU et par ses prédécesseurs.
De plus, il n'a point exigé le recensement des populations sahraouies marocaines vivant dans les camps des séquestrés de Tindouf, ni fait allusion au rapport accablant sur les détournements des aides internationales par les responsables algéro-polisariens élaboré par l'Office Européen de Lutte Anti-Fraude (OLAF).
Et, enfin, cerise sur le gâteau pour couronner sa visite à charge pour le Maroc, il a eu l'outrecuidance de faire le V de la victoire dès son arrivée à Alger après les quelques heures passées à Tindouf où il s'est fait caillasser par des Sahraouis marocains, l'obligeant à s'enfuir.
Monsieur Ban Ki Moon a insulté le Maroc et son Peuple, a porté atteinte à son intégrité territoriale et à sa souveraineté nationale, il ne mérite donc pas le respect dû à un fonctionnaire international de son rang. Bien au contraire, le Maroc et son Peuple, de Tanger à Lagouira, n'a aucun respect pour ce diplomate qui est sorti de son rôle de facilitateur dans le dossier du Sahara marocain pour se faire l'avocat de la cause perdue des terro-polisariens.
Farid Mnebhi.
taire G
Suite à la manifestation monstre (3 millions de personnes) qui s'est déroulée à Rabat le 13 mars 2016 en protestation à ses propos et son comportement scandaleux qui ont insulté le Maroc et le peuple marocain, mais aussi souillé la fonction de Secrétaire Général de l'ONU, Monsieur Ban Ki Moon, futur ex-Secrétaire Général de l'organisation onusienne, exige du respect. De quel respect parle-t-on ?
La réponse des autorités marocaines à cette exigence outrancière ne s'est pas faite attendre. Rabat a décidé de réduire drastiquement la composante civile et politique de la MINURSO, d'annuler sa contribution volontaire à son fonctionnement et d'examiner la possibilité de rappeler des contingents militaires marocains opérant sous la bannière de l'ONU à travers le monde.
Joignant l'acte à la parole, une liste exhaustive des personnes concernées par cette réduction a été déposée au Secrétariat Général de l'ONU avec injonction qu'elles quittent le territoire national marocain dans les plus brefs délais, alors que des mesures concrètes ont été prises pour l'annulation de la contribution volontaire marocaine.
Tel est le résultat affligeant de la tournée de BAN Ki Moon dans la région.
En effet, Ban Ki Moon a totalement bafoué la fonction de Secrétaire Général de l'ONU, car selon la Charte de cette organisation, il ne peut visiter officiellement que les Etats reconnus par l'ONU.
Ensuite, il s'est permis de se prosterner devant le chiffon d'un Etat fantoche qui ne flotte même pas sur la façade de l'organisation internationale qu'il dirige.
Par ailleurs, il a osé qualifier la présence marocaine dans son Sahara "d'occupation", un terme qui n'a jamais été usité par les résolutions du Conseil de Sécurité de l'ONU et par ses prédécesseurs.
De plus, il n'a point exigé le recensement des populations sahraouies marocaines vivant dans les camps des séquestrés de Tindouf, ni fait allusion au rapport accablant sur les détournements des aides internationales par les responsables algéro-polisariens élaboré par l'Office Européen de Lutte Anti-Fraude (OLAF).
Et, enfin, cerise sur le gâteau pour couronner sa visite à charge pour le Maroc, il a eu l'outrecuidance de faire le V de la victoire dès son arrivée à Alger après les quelques heures passées à Tindouf où il s'est fait caillasser par des Sahraouis marocains, l'obligeant à s'enfuir.
Monsieur Ban Ki Moon a insulté le Maroc et son Peuple, a porté atteinte à son intégrité territoriale et à sa souveraineté nationale, il ne mérite donc pas le respect dû à un fonctionnaire international de son rang. Bien au contraire, le Maroc et son Peuple, de Tanger à Lagouira, n'a aucun respect pour ce diplomate qui est sorti de son rôle de facilitateur dans le dossier du Sahara marocain pour se faire l'avocat de la cause perdue des terro-polisariens.
Farid Mnebhi.
taire G