La Banque mondiale va injecter 570 millions $ (environ 331,5 milliards FCFA) dans la sécurité agricole et l'amélioration de la résilience des systèmes alimentaires dans plusieurs d'Afrique de l’Ouest, dont le Togo.
L'information émane de l'Institution de Bretton Woods, qui a annoncé le vendredi 19 novembre 2021, ce nouveau Programme de résilience des systèmes alimentaires (FSRP). La première phase du FSRP, apprend-on, s'élève à 330 millions $, et réunit quatre pays : le Togo, le Burkina Faso, le Mali, et le Niger, - ainsi que trois organisations régionales, que sont la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), le Comité permanent inter-États de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS) et le Conseil ouest et centre africain pour la recherche et le développement agricoles (CORAF).
Il s’agira dans un premier temps de mettre en œuvre “un vaste programme” d’accroissement de la productivité agricole, de promouvoir les chaînes de valeur et le commerce intra régional, et de renforcer les capacités régionales de gestion des risques agricoles, selon la Banque. « La prévention et la gestion des crises alimentaires sont mieux réalisées au niveau régional pour atténuer, diversifier et transférer les risques de production et permettre des économies d'échelle.” a indiqué Jean Claude Kassi Brou, président de la Commission de la CEDEAO, cité par la Banque.
“Ce programme permet une plus grande coopération pour assurer la sécurité alimentaire, aujourd'hui et à l'avenir, pour le bénéfice des populations de la CEDEAO.", a ajouté l’Ivoirien. Le FSRP devrait toucher 4 millions de bénéficiaires directs, selon les premières prévisions de l'Institution basée à Washington, notamment des agriculteurs (avec un accent sur les femmes et les jeunes), des petits producteurs et transformateurs, et des petites et moyennes entreprises agricoles.
L'information émane de l'Institution de Bretton Woods, qui a annoncé le vendredi 19 novembre 2021, ce nouveau Programme de résilience des systèmes alimentaires (FSRP). La première phase du FSRP, apprend-on, s'élève à 330 millions $, et réunit quatre pays : le Togo, le Burkina Faso, le Mali, et le Niger, - ainsi que trois organisations régionales, que sont la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), le Comité permanent inter-États de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS) et le Conseil ouest et centre africain pour la recherche et le développement agricoles (CORAF).
Il s’agira dans un premier temps de mettre en œuvre “un vaste programme” d’accroissement de la productivité agricole, de promouvoir les chaînes de valeur et le commerce intra régional, et de renforcer les capacités régionales de gestion des risques agricoles, selon la Banque. « La prévention et la gestion des crises alimentaires sont mieux réalisées au niveau régional pour atténuer, diversifier et transférer les risques de production et permettre des économies d'échelle.” a indiqué Jean Claude Kassi Brou, président de la Commission de la CEDEAO, cité par la Banque.
“Ce programme permet une plus grande coopération pour assurer la sécurité alimentaire, aujourd'hui et à l'avenir, pour le bénéfice des populations de la CEDEAO.", a ajouté l’Ivoirien. Le FSRP devrait toucher 4 millions de bénéficiaires directs, selon les premières prévisions de l'Institution basée à Washington, notamment des agriculteurs (avec un accent sur les femmes et les jeunes), des petits producteurs et transformateurs, et des petites et moyennes entreprises agricoles.