Lecture du communiqué final sanctionnant les travaux du FIGE
A l’issue de l’assemblée générale, 20 résolutions et une recommandation ont été adoptées pour faire avancer les dossiers se rapportant à l’organisation et au fonctionnement du FIGE. Il s’agit notamment du règlement intérieur et du manuel de procédures administratives et financières. De ces conclusions, on peut, également, retenir le renouvellement du comité directeur et l’approbation de 6 nouvelles adhésions dont deux institutions respectivement pour le Congo et la Guinée. La RDC et la Somalie ont eu chacune d’elle une institution admise au sein de cette structure.
Au sujet de l’institut du FIGE, les nouveaux statuts ont été adoptés et une cotisation annuelle par membre a été fixée. Selon le contrôleur général d’Etat, président du comité directeur du FIGE, Germain Kiamba, dans son discours de clôture, « ces mesures, à n’en point douter, devraient apporter à cet institut plus de capacité d’intervention en vue de lui permettre d’être plus opérationnel et efficace en matière de renforcement des capacités des auditeurs et inspecteurs. »
Pour sa part, le 9ème colloque placé sous le thème « Les institutions supérieures de contrôle de l’ordre administratif face aux défis de la bonne gouvernance », a suscité également un grand intérêt au regard des exposés développés par des experts, appréciés favorablement par les participants. Le souhait le plus ardent des participants est que dans les prochaines années le FIGE puisse se focaliser notamment sur l’harmonisation des méthodes d’organisation et de travail au niveau de toutes les institutions supérieures de contrôle ainsi que de l’ordre administratif.
A noter que, le FIGE est une organisation africaine créée en février 2006 à Djibouti. Cette institution a, entre autres missions, de promouvoir, conformément aux principes de la bonne gouvernance, la transparence, le dialogue, les rencontres, la coopération avec d’autres institutions ou instances internationales, notamment les partenaires techniques communs. C’est l’Angola qui abritera la 9ème assemblée générale du FIGE, en 2024.
Au sujet de l’institut du FIGE, les nouveaux statuts ont été adoptés et une cotisation annuelle par membre a été fixée. Selon le contrôleur général d’Etat, président du comité directeur du FIGE, Germain Kiamba, dans son discours de clôture, « ces mesures, à n’en point douter, devraient apporter à cet institut plus de capacité d’intervention en vue de lui permettre d’être plus opérationnel et efficace en matière de renforcement des capacités des auditeurs et inspecteurs. »
Pour sa part, le 9ème colloque placé sous le thème « Les institutions supérieures de contrôle de l’ordre administratif face aux défis de la bonne gouvernance », a suscité également un grand intérêt au regard des exposés développés par des experts, appréciés favorablement par les participants. Le souhait le plus ardent des participants est que dans les prochaines années le FIGE puisse se focaliser notamment sur l’harmonisation des méthodes d’organisation et de travail au niveau de toutes les institutions supérieures de contrôle ainsi que de l’ordre administratif.
A noter que, le FIGE est une organisation africaine créée en février 2006 à Djibouti. Cette institution a, entre autres missions, de promouvoir, conformément aux principes de la bonne gouvernance, la transparence, le dialogue, les rencontres, la coopération avec d’autres institutions ou instances internationales, notamment les partenaires techniques communs. C’est l’Angola qui abritera la 9ème assemblée générale du FIGE, en 2024.