« L’Union européenne appelle les autorités de transition à faire toute la lumière sur les circonstances de cette tuerie afin d’en déterminer les responsabilités », a indiqué l’organisation.
L’UE a indiqué qu’elle « réaffirme sa pleine solidarité avec le peuple burkinabè, première victime de la dégradation continue de la situation sécuritaire dans le pays ».
Ces derniers jours, certaines des images insoutenables ont circulé montrant les corps sans vie de femmes et d’enfants, parfois de nourrissons. Selon des sources concordantes, près d’une centaine de civils ont été tués le 6 novembre dans le village de Zaongo, à une trentaine de kilomètres au nord de Boulsa, dans la région du Centre-Nord.
L’identité des assaillants n’est toujours pas connue. Si des sources militaires jointes par Jeune Afrique pointent la responsabilité de « terroristes », d’autres sources évoquent un massacre qui aurait été perpétré par des militaires et/ou des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), leurs supplétifs civils.
L’UE a indiqué qu’elle « réaffirme sa pleine solidarité avec le peuple burkinabè, première victime de la dégradation continue de la situation sécuritaire dans le pays ».
Ces derniers jours, certaines des images insoutenables ont circulé montrant les corps sans vie de femmes et d’enfants, parfois de nourrissons. Selon des sources concordantes, près d’une centaine de civils ont été tués le 6 novembre dans le village de Zaongo, à une trentaine de kilomètres au nord de Boulsa, dans la région du Centre-Nord.
L’identité des assaillants n’est toujours pas connue. Si des sources militaires jointes par Jeune Afrique pointent la responsabilité de « terroristes », d’autres sources évoquent un massacre qui aurait été perpétré par des militaires et/ou des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), leurs supplétifs civils.