La direction militaire de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) aurait refusé de recourir à la force contre le Niger, où des militaires ont pris le pouvoir à la suite d'un coup d'État.
C'est ce qu'a rapporté la chaîne de télévision Al Arabiya, en se référant à la déclaration des ministres de la Défense de l'organisation ouest-africaine.
Selon la publication, la CEDEAO ne recourra pas à l'intervention militaire au Niger, mais renforcera la pression des sanctions pour forcer les putschistes à libérer le président de la République, Mohamed Bazoum.
Lors d'un sommet extraordinaire tenu le 30 juillet dernier, les dirigeants ouest-africains ont fixé un ultimatum d’une semaine aux militaires putschistes pour libérer le président Mohamed Bazoum, et organiser le « retour complet à l’ordre constitutionnel ».
Si ces demandes ne « sont pas satisfaites dans un délai d'une semaine », l’organisation ouest-africaine « prendra toutes les mesures nécessaires », y compris le recours à la force.
S'exprimant à la télévision nationale le 2 août, le général Tchiani, chef du Conseil national pour le salut de la patrie (CNSP), a déclaré que le Niger ne céderait pas aux pressions régionales et internationales visant à rétablir le président Bazoum dans ses fonctions. Il a appelé le peuple nigérien à être prêt à défendre la patrie, face aux menaces extérieures.
Le président déchu, M. Bazoum, selon les déclarations de responsables politiques nigériens, est en « bonne santé » et a été en contact téléphonique avec des dirigeants et des responsables gouvernementaux d'autres pays, mais il lui est interdit de quitter sa résidence.
C'est ce qu'a rapporté la chaîne de télévision Al Arabiya, en se référant à la déclaration des ministres de la Défense de l'organisation ouest-africaine.
Selon la publication, la CEDEAO ne recourra pas à l'intervention militaire au Niger, mais renforcera la pression des sanctions pour forcer les putschistes à libérer le président de la République, Mohamed Bazoum.
Lors d'un sommet extraordinaire tenu le 30 juillet dernier, les dirigeants ouest-africains ont fixé un ultimatum d’une semaine aux militaires putschistes pour libérer le président Mohamed Bazoum, et organiser le « retour complet à l’ordre constitutionnel ».
Si ces demandes ne « sont pas satisfaites dans un délai d'une semaine », l’organisation ouest-africaine « prendra toutes les mesures nécessaires », y compris le recours à la force.
S'exprimant à la télévision nationale le 2 août, le général Tchiani, chef du Conseil national pour le salut de la patrie (CNSP), a déclaré que le Niger ne céderait pas aux pressions régionales et internationales visant à rétablir le président Bazoum dans ses fonctions. Il a appelé le peuple nigérien à être prêt à défendre la patrie, face aux menaces extérieures.
Le président déchu, M. Bazoum, selon les déclarations de responsables politiques nigériens, est en « bonne santé » et a été en contact téléphonique avec des dirigeants et des responsables gouvernementaux d'autres pays, mais il lui est interdit de quitter sa résidence.