En 2016, les chefs d’Etat de la CEMAC, réunis à Yaoundé avaient, après examen de la situation économique et monétaire dans leur zone, adopté une série de mesures qui visait à juguler les effets néfastes du double choc pétrolier et sécuritaire sur les économies de la sous-région.
Le chef de l’Etat congolais avait reçu mission de conduire les réformes sur cette question préoccupante au niveau de la Communauté. Au cours de ce sommet extraordinaire, les dirigeants de la CEMAC devront faire le point sur la mise en œuvre de ces réformes, mais aussi plancher sur les questions de sécurité aux frontières, la paix et la stabilité des Etats. Promouvoir la paix et le développement harmonieux des Etats membres est en effet, l’une des missions essentielles de la CEMAC, selon l’article 2 du traité qui institue cette organisation sous-régionale.
Le point portant sur l’effectivité de la libre circulation des personnes et des biens en zone CEMAC pourrait aussi figurer au menu de ce sommet. Ce principe annonce des lendemains meilleurs, principalement dans la nécessité d’établir une complémentarité entre les économies de l’Afrique centrale, d’accélérer le chantier de la réalisation des infrastructures d’interconnexion et de cheminer ensemble vers la conclusion d’un accord régional de Partenariat Economique.
On le sait, la baisse des prix des matières premières, les conflits civils dans certains Etats, le flux des réfugiés et la sécheresse dans d’autres ont plongé l’économie des pays de cette communauté dans une situation préoccupante. Sur la question, Denis Sassou-N’Guesso discutera avec ses homologues de la sous-région sur la mise en place des mécanismes pouvant permettre le rétablissement des équilibres macroéconomiques, la croissance au moyen des efforts concertés et la bonne conduite des programmes conclus avec le Fonds Monétaire International (FMI).
En rappel, chaque Etat de la CEMAC applique déjà un programme d’ajustement de l’économie appuyé par le FMI. Ainsi, le sommet de Yaoundé devra étudier la possibilité de concrétiser la vision de la CEMAC, qui s’articule autour du Programme Économique Régional (PER) dont l’objectif est de faire de la CEMAC, d’ici 2025, “un espace économique intégré, émergent où règnent la sécurité, la solidarité et bonne gouvernance”.
Le chef de l’Etat congolais avait reçu mission de conduire les réformes sur cette question préoccupante au niveau de la Communauté. Au cours de ce sommet extraordinaire, les dirigeants de la CEMAC devront faire le point sur la mise en œuvre de ces réformes, mais aussi plancher sur les questions de sécurité aux frontières, la paix et la stabilité des Etats. Promouvoir la paix et le développement harmonieux des Etats membres est en effet, l’une des missions essentielles de la CEMAC, selon l’article 2 du traité qui institue cette organisation sous-régionale.
Le point portant sur l’effectivité de la libre circulation des personnes et des biens en zone CEMAC pourrait aussi figurer au menu de ce sommet. Ce principe annonce des lendemains meilleurs, principalement dans la nécessité d’établir une complémentarité entre les économies de l’Afrique centrale, d’accélérer le chantier de la réalisation des infrastructures d’interconnexion et de cheminer ensemble vers la conclusion d’un accord régional de Partenariat Economique.
On le sait, la baisse des prix des matières premières, les conflits civils dans certains Etats, le flux des réfugiés et la sécheresse dans d’autres ont plongé l’économie des pays de cette communauté dans une situation préoccupante. Sur la question, Denis Sassou-N’Guesso discutera avec ses homologues de la sous-région sur la mise en place des mécanismes pouvant permettre le rétablissement des équilibres macroéconomiques, la croissance au moyen des efforts concertés et la bonne conduite des programmes conclus avec le Fonds Monétaire International (FMI).
En rappel, chaque Etat de la CEMAC applique déjà un programme d’ajustement de l’économie appuyé par le FMI. Ainsi, le sommet de Yaoundé devra étudier la possibilité de concrétiser la vision de la CEMAC, qui s’articule autour du Programme Économique Régional (PER) dont l’objectif est de faire de la CEMAC, d’ici 2025, “un espace économique intégré, émergent où règnent la sécurité, la solidarité et bonne gouvernance”.