Les états-majors politiques sont en ébullition depuis le dernier message à la nation du chef de l’Etat. Chacun l’interprète à sa guise et selon son obédience. Il fallait, non seulement expliciter la décision du chef de l’Etat, mais aussi, apaiser les inquiétudes de ceux qui craindraient que l’organisation du référendum empiète sur le calendrier électoral initial.
Pour cela, et dans ses nouveaux habits de porte-parole du gouvernement, le ministre de la communication et des médias, Thierry Lezin Moungalla, a choisi un échange franc et direct avec les chevaliers de la plume et du micro pour éclairer la lanterne aussi bien de l’opinion nationale qu’internationale.
Pendant une heure 15 minutes, comme un véritable baptême de feu, le ministre Thierry Moungalla, prenant appui sur le message du président de la République, a donné des éclairages nécessaires, au point d’épuiser les « munitions » de la presse sur cette question pleine d’intérêt.
Au cours de cet exercice de questions – réponses, les journalistes ont soulevé une inquiétude relative au calendrier électoral qui, selon les journalistes, pourrait prendre un coup avec la tenue du référendum annoncé par le chef de l’Etat. La réponse du ministre a cette question a été sans équivoque : « Nous avons amplement le temps d’organiser un scrutin référendaire », sans dépasser les délais de l’élection présidentielle de 2016, a-t-il affirmé.
Thierry Moungalla s’est appuyé sur les textes régissant le processus électoral au Congo (la Constitution du 20 janvier 2002 et la loi électorale) pour asseoir son argument : « … l’article 62 de l’actuelle constitution et la loi électorale rappellent que l’élection du président de la République a lieu 30 jours au moins, et 40 jours au plus, avant la date d’expiration du mandat du président de la République », a-t-il indiqué, avant de préciser que le mandat du président de la République est rentré en vigueur le 14 août 20O9 pour expirer le 14 Août 2016. Conformément aux dispositions légales, a-t-il poursuivi, l’élection présidentielle doit avoir lieu au plus tard le 14 juillet et au plus tôt le 4 juillet 2015.
Au regard de ces délais, «je ne vois pas des raisons particulières qui empêcheraient l’élection présidentiel de se dérouler conformément à nos textes et dans les délais qui sont connus … », a assuré le ministre. De même qu’il a donné des gages « sûrs » pour un scrutin libre et transparent.
Pour cela, et dans ses nouveaux habits de porte-parole du gouvernement, le ministre de la communication et des médias, Thierry Lezin Moungalla, a choisi un échange franc et direct avec les chevaliers de la plume et du micro pour éclairer la lanterne aussi bien de l’opinion nationale qu’internationale.
Pendant une heure 15 minutes, comme un véritable baptême de feu, le ministre Thierry Moungalla, prenant appui sur le message du président de la République, a donné des éclairages nécessaires, au point d’épuiser les « munitions » de la presse sur cette question pleine d’intérêt.
Au cours de cet exercice de questions – réponses, les journalistes ont soulevé une inquiétude relative au calendrier électoral qui, selon les journalistes, pourrait prendre un coup avec la tenue du référendum annoncé par le chef de l’Etat. La réponse du ministre a cette question a été sans équivoque : « Nous avons amplement le temps d’organiser un scrutin référendaire », sans dépasser les délais de l’élection présidentielle de 2016, a-t-il affirmé.
Thierry Moungalla s’est appuyé sur les textes régissant le processus électoral au Congo (la Constitution du 20 janvier 2002 et la loi électorale) pour asseoir son argument : « … l’article 62 de l’actuelle constitution et la loi électorale rappellent que l’élection du président de la République a lieu 30 jours au moins, et 40 jours au plus, avant la date d’expiration du mandat du président de la République », a-t-il indiqué, avant de préciser que le mandat du président de la République est rentré en vigueur le 14 août 20O9 pour expirer le 14 Août 2016. Conformément aux dispositions légales, a-t-il poursuivi, l’élection présidentielle doit avoir lieu au plus tard le 14 juillet et au plus tôt le 4 juillet 2015.
Au regard de ces délais, «je ne vois pas des raisons particulières qui empêcheraient l’élection présidentiel de se dérouler conformément à nos textes et dans les délais qui sont connus … », a assuré le ministre. De même qu’il a donné des gages « sûrs » pour un scrutin libre et transparent.