Le manque d'accès à l'internet et la pratique de l'informatique dans les universités publiques constituent un défi majeur pour les étudiants tchadiens. L'internet aide les étudiants à effectuer des recherches et à suivre des cours en ligne avec leurs enseignants.
Il facilite également la communication entre enseignants et étudiants, notamment pendant les périodes de vacances ou de grève. Dans les pays voisins, l'internet est devenu une ressource indispensable pour les étudiants et est disponible dans chaque université publique. Certaines matières sont même enseignées à distance, avec des examens et des sessions en ligne.
Au Tchad, en revanche, le réseau internet n'est pas disponible dans les universités. Par ailleurs, l'informatique est une science qui traite de l'information de manière automatique et rationnelle, considérée comme le support des connaissances et des communications. Lorsqu'elle est pratiquée, l'informatique se consacre plutôt aux techniques concrètes de mise en œuvre des modèles.
Elle résout des problèmes environnementaux, améliore les soins de santé, accroît la qualité de l'éducation, facilite les communications et bien plus encore. La pratique de l'informatique permet aux étudiants de saisir du texte, de créer des sites web professionnels et de développer leurs compétences lorsqu'ils entreront dans la fonction publique ou dans une entreprise.
Au Tchad, de nombreux étudiants ne savent pas comment allumer un ordinateur, certains n'ont pas les moyens d'en acheter un et d'autres n'ont jamais touché une machine informatique. La question se pose alors : l'absence de l'informatique dans les universités publiques est-elle négligée par l'enseignement supérieur, ou bien les moyens ne permettent-ils pas de la mettre en place ?
Pourtant, chaque année, le rectorat recrute plus de 200 000 nouveaux étudiants, 500 000 étudiants renouvellent leurs inscriptions et plus de 500 étudiants s'inscrivent en master. Face à cette situation, le ministre de l'Enseignement supérieur doit prendre les mesures nécessaires pour améliorer le secteur de l'enseignement supérieur. Il est également appelé à construire des salles d'informatique, et à offrir un accès gratuit à l'internet.
Il facilite également la communication entre enseignants et étudiants, notamment pendant les périodes de vacances ou de grève. Dans les pays voisins, l'internet est devenu une ressource indispensable pour les étudiants et est disponible dans chaque université publique. Certaines matières sont même enseignées à distance, avec des examens et des sessions en ligne.
Au Tchad, en revanche, le réseau internet n'est pas disponible dans les universités. Par ailleurs, l'informatique est une science qui traite de l'information de manière automatique et rationnelle, considérée comme le support des connaissances et des communications. Lorsqu'elle est pratiquée, l'informatique se consacre plutôt aux techniques concrètes de mise en œuvre des modèles.
Elle résout des problèmes environnementaux, améliore les soins de santé, accroît la qualité de l'éducation, facilite les communications et bien plus encore. La pratique de l'informatique permet aux étudiants de saisir du texte, de créer des sites web professionnels et de développer leurs compétences lorsqu'ils entreront dans la fonction publique ou dans une entreprise.
Au Tchad, de nombreux étudiants ne savent pas comment allumer un ordinateur, certains n'ont pas les moyens d'en acheter un et d'autres n'ont jamais touché une machine informatique. La question se pose alors : l'absence de l'informatique dans les universités publiques est-elle négligée par l'enseignement supérieur, ou bien les moyens ne permettent-ils pas de la mettre en place ?
Pourtant, chaque année, le rectorat recrute plus de 200 000 nouveaux étudiants, 500 000 étudiants renouvellent leurs inscriptions et plus de 500 étudiants s'inscrivent en master. Face à cette situation, le ministre de l'Enseignement supérieur doit prendre les mesures nécessaires pour améliorer le secteur de l'enseignement supérieur. Il est également appelé à construire des salles d'informatique, et à offrir un accès gratuit à l'internet.