MULLER Stéphane s’invente une nouvelle loi
Le directeur général adjoint de la société forestière FIPCAM basée à Mfou au Cameroun, le nommé MULLER Stéphane s’invente une nouvelle loi. Ni le code du travail ni les conventions internationales encore moins une décision expresse et motivée d’un haut fonctionnaire du ministère du travail ne peuvent ébranler son entêtement à mépriser les lois de l’Etat du Cameroun. C’est ainsi qu’il avait infligé une mise à pied de 3 jours à l’employé BELINGA Jean Marc pour n’avoir pas chargé frauduleusement le bois dans les conteneurs au milieu de la nuit du dimanche 28/03/2010,à l’insu du ministère des forêts, du ministère des finances et du ministère du travail, alors que selon la Loi ,cet ex-délégué du personnel est astreint au régime de 40 heures de travail par semaine allant de lundi à vendredi, horaire 07h à 16h.
Ce directeur MULLER Stéphane, français d’origine, s’illustre par des Insultes, agressions physiques, arrachages et séquestrations de documents et menaces de licenciement contre les employés. Cela fait cinq (5) années qu’il a arraché et séquestré les documents personnels de l’employé BELINGA Jean Marc parmi lesquels des actes de naissances de ses enfants, ces derniers qui se font inscrire désormais à l’école grâce à des anciennes photocopies retrouvées dans la valise de son épouse. Au mépris de la déclaration universelle des droits de l’homme(DUDH) en son article 12, stipulant : nul ne sera l’objet d’immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d’atteinte à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.
Depuis le 15 juin 2011 jusqu’à ce jour, MULLER Stéphane continue de refuser de respecter une décision de l’Etat du Cameroun portant réintégration du délégué du personnel BELINGA Jean Marc à son poste du travail avec paiement de tous ses salaires. (Réf : voir décision N° 361/l/MINTSS/DRTSS-C/DDTSS-MAF du 15 juin 2011du ministère du travail).
Vivement que l’Etat du Cameroun et la communauté internationale forcent MULLER Stéphane à s’exécuter face à cette décision souveraine.
Moise PRUNEL
Coordonnateur de l’ONG Paix et Egalité
Selon la requête de monsieur BELINGA Jean Marc, l’intéressé peut être joint par d’autres ONG à l’adresse suivante : [email protected] / tél : (237) 674 91 98 78
Ce directeur MULLER Stéphane, français d’origine, s’illustre par des Insultes, agressions physiques, arrachages et séquestrations de documents et menaces de licenciement contre les employés. Cela fait cinq (5) années qu’il a arraché et séquestré les documents personnels de l’employé BELINGA Jean Marc parmi lesquels des actes de naissances de ses enfants, ces derniers qui se font inscrire désormais à l’école grâce à des anciennes photocopies retrouvées dans la valise de son épouse. Au mépris de la déclaration universelle des droits de l’homme(DUDH) en son article 12, stipulant : nul ne sera l’objet d’immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d’atteinte à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.
Depuis le 15 juin 2011 jusqu’à ce jour, MULLER Stéphane continue de refuser de respecter une décision de l’Etat du Cameroun portant réintégration du délégué du personnel BELINGA Jean Marc à son poste du travail avec paiement de tous ses salaires. (Réf : voir décision N° 361/l/MINTSS/DRTSS-C/DDTSS-MAF du 15 juin 2011du ministère du travail).
Vivement que l’Etat du Cameroun et la communauté internationale forcent MULLER Stéphane à s’exécuter face à cette décision souveraine.
Moise PRUNEL
Coordonnateur de l’ONG Paix et Egalité
Selon la requête de monsieur BELINGA Jean Marc, l’intéressé peut être joint par d’autres ONG à l’adresse suivante : [email protected] / tél : (237) 674 91 98 78