L'une des maisons incendiées à Mamfé par les séparatistes anglophone / Peter Kum
« Près de 40 personnes, tous des civils, ont été brulées vif, avec une centaine de blessés graves, aux environs de 3h45 mn ce 06 novembre 2023, au village Egbekaw, dans l’Arrondissement de Mamfe, département de la Manyu, Région du Sud-Ouest, alors qu’elles dormaient et celles qui ont tenté de s’enfuir ont été abattues à bout portant », a alerté, lundi, l’ONG Madela Centre International.
Selon cette ONG à Statut Consultatif Spécial auprès des Nations Unies, il s’agit d’un bilan provisoire « en attendant le dernier décompte par l’équipe dépêchée sur le terrain ».
Mandela Center International a affirmé que « ce massacre des populations civiles est l’œuvre des groupes armés non étatiques qui écument les lieux », dont le mouvement séparatiste anglophone, Ambazonie.
L’ONG a également affirmé que « cette tuerie massive fait suite au fait que les groupes armés séparatistes soupçonnent les populations civiles locales de coopérer ou d’indiquer leurs camps de formation ou de regroupement aux forces armées gouvernementales ».
Elle s’étonne que les autorités administratives et militaires locales n’ont pas encore réagi face à ce drame au moment des présentes écritures.
Le gouverneur de la région du Sud-Ouest a néanmoins confirmé ce massacre à Alwihda-Infos et il l’attribue aux groupes séparatistes anglophones.
Dans un enregistrement sonore publié sur les réseaux sociaux ce lundi mais non authentifié par Alwihda, un séparatiste revendique cette attaque meurtrière dans la région du Sud-Ouest.
Selon cette ONG à Statut Consultatif Spécial auprès des Nations Unies, il s’agit d’un bilan provisoire « en attendant le dernier décompte par l’équipe dépêchée sur le terrain ».
Mandela Center International a affirmé que « ce massacre des populations civiles est l’œuvre des groupes armés non étatiques qui écument les lieux », dont le mouvement séparatiste anglophone, Ambazonie.
L’ONG a également affirmé que « cette tuerie massive fait suite au fait que les groupes armés séparatistes soupçonnent les populations civiles locales de coopérer ou d’indiquer leurs camps de formation ou de regroupement aux forces armées gouvernementales ».
Elle s’étonne que les autorités administratives et militaires locales n’ont pas encore réagi face à ce drame au moment des présentes écritures.
Le gouverneur de la région du Sud-Ouest a néanmoins confirmé ce massacre à Alwihda-Infos et il l’attribue aux groupes séparatistes anglophones.
Dans un enregistrement sonore publié sur les réseaux sociaux ce lundi mais non authentifié par Alwihda, un séparatiste revendique cette attaque meurtrière dans la région du Sud-Ouest.