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Cameroun-Tchad : ciel sans nuages entre les deux pays
Après les dissensions enregistrées entre le Cameroun et le Tchad, sur la gestion du pétrole tchadien, l’heure est à la décrispation entre les deux pays voisins.
On en veut pour preuve, la taille de la délégation tchadienne qui s’est rendue le 19 mai dernier à Yaoundé, et conduite par le secrétaire général de la présidence du Tchad, le ministre d’Etat Gali Ngothé Gatta.
Cette visite survenait après celle effectuée le 26 avril dernier à Ndjamena par le ministre d’Etat, secrétaire général de la présidence du Cameroun, Ferdinand Ngoh Ngoh, envoyé spécial, porteur d’un message du président Paul Biya, à l’endroit du président tchadien, le général Mahamat Idriss Deby Itno. C’était alors au plus fort de la crise entre les deux capitales, avec en prime, le rappel par Ndjamena de son ambassadeur accrédité à Yaoundé, pour consultation.
Après un échange à huis-clos entre Ferdinand Ngoh Ngoh et Gali Ngothe Gatta, les deux personnalités se sont rendues dans la salle des conseils du secrétariat général de la présidence de la République du Cameroun, pour une séance de travail élargie aux membres des deux délégations respectives.
Au cours des échanges entre les deux parties, le ministre d’Etat tchadien était accompagné des ministres en charge du Pétrole et de l’Energie, des Finances et du Budget, du conseiller au pétrole et à l’énergie de la présidence de la République tchadienne, ainsi que des directeurs généraux de la Société tchadienne des hydrocarbures et de TOTCO.
Quant à la délégation camerounaise, elle était constituée des ministres du Commerce, des Mines, de l’Industrie et du Développement technologique, des représentants du ministère des Finances et de la Société nationale des hydrocarbures du Cameroun, entre autres.
« Je viens vous dire que la relation entre le Cameroun et le Tchad est normalisée. Il y a eu quelques brouilles sur la gestion du pétrole, mais elles ont été solutionnées. Nous voyons désormais dans la même direction. Nous avons travaillé aujourd'hui sur l'énergie, l'eau, le commerce, les finances et l'économie », a déclaré le ministre d’Etat Gali Ngothé Gatta.
Selon certaines indications, la sérénité et la convivialité qui ont prévalu au cours des travaux témoignent de la volonté du Cameroun et du Tchad de renforcer leurs relations de bon voisinage, et surtout, d’évoluer la main dans la main, en vue d’un développement économique harmonieux.
En effet, il ne peut en être autrement pour ces deux pays liés par l’histoire et la géographie, et qui partagent un certain nombre d’intérêts économiques et financiers. Bien plus, la visite de la délégation tchadienne à Yaoundé confirme également la volonté des deux chefs d’Etat, quant à la normalisation des rapports sur les questions essentiels, objet de quelques malentendus.
« Les nuages ombrageux qui semblaient peser dans nos rapports ont été éclairés », s’est réjoui le secrétaire général de la présidence de la République du Tchad devant la presse officielle. Il s’agit là d’un moment qui consacre la décrispation entre Yaoundé et Ndjamena.
On en veut pour preuve, la taille de la délégation tchadienne qui s’est rendue le 19 mai dernier à Yaoundé, et conduite par le secrétaire général de la présidence du Tchad, le ministre d’Etat Gali Ngothé Gatta.
Cette visite survenait après celle effectuée le 26 avril dernier à Ndjamena par le ministre d’Etat, secrétaire général de la présidence du Cameroun, Ferdinand Ngoh Ngoh, envoyé spécial, porteur d’un message du président Paul Biya, à l’endroit du président tchadien, le général Mahamat Idriss Deby Itno. C’était alors au plus fort de la crise entre les deux capitales, avec en prime, le rappel par Ndjamena de son ambassadeur accrédité à Yaoundé, pour consultation.
Après un échange à huis-clos entre Ferdinand Ngoh Ngoh et Gali Ngothe Gatta, les deux personnalités se sont rendues dans la salle des conseils du secrétariat général de la présidence de la République du Cameroun, pour une séance de travail élargie aux membres des deux délégations respectives.
Au cours des échanges entre les deux parties, le ministre d’Etat tchadien était accompagné des ministres en charge du Pétrole et de l’Energie, des Finances et du Budget, du conseiller au pétrole et à l’énergie de la présidence de la République tchadienne, ainsi que des directeurs généraux de la Société tchadienne des hydrocarbures et de TOTCO.
Quant à la délégation camerounaise, elle était constituée des ministres du Commerce, des Mines, de l’Industrie et du Développement technologique, des représentants du ministère des Finances et de la Société nationale des hydrocarbures du Cameroun, entre autres.
« Je viens vous dire que la relation entre le Cameroun et le Tchad est normalisée. Il y a eu quelques brouilles sur la gestion du pétrole, mais elles ont été solutionnées. Nous voyons désormais dans la même direction. Nous avons travaillé aujourd'hui sur l'énergie, l'eau, le commerce, les finances et l'économie », a déclaré le ministre d’Etat Gali Ngothé Gatta.
Selon certaines indications, la sérénité et la convivialité qui ont prévalu au cours des travaux témoignent de la volonté du Cameroun et du Tchad de renforcer leurs relations de bon voisinage, et surtout, d’évoluer la main dans la main, en vue d’un développement économique harmonieux.
En effet, il ne peut en être autrement pour ces deux pays liés par l’histoire et la géographie, et qui partagent un certain nombre d’intérêts économiques et financiers. Bien plus, la visite de la délégation tchadienne à Yaoundé confirme également la volonté des deux chefs d’Etat, quant à la normalisation des rapports sur les questions essentiels, objet de quelques malentendus.
« Les nuages ombrageux qui semblaient peser dans nos rapports ont été éclairés », s’est réjoui le secrétaire général de la présidence de la République du Tchad devant la presse officielle. Il s’agit là d’un moment qui consacre la décrispation entre Yaoundé et Ndjamena.
