Une table ronde s'est tenue le 14 juin 2024 à Yaoundé, au cours d'une cérémonie présidée par le ministre des Transports du Cameroun, Jean Ernest Masséna Ngallè Bibéhè, en présence du ministre du Commerce et de l'Industrie de la République du Tchad, Guibolo Fanga Mathieu, du ministre délégué auprès du ministre de l'Economie, de la Planification et de l'Aménagement du territoire chargé de la Planification, Paul Tasong.
Le consultant qui a remis les études de faisabilité et le rapport de l'assistance technique au ministre des Transports de la République du Cameroun et au ministre du Commerce et de l'Industrie de la République du Tchad, a réalisé trois études complètes sur un itinéraire total de plus de 2100 kilomètres afin de donner aux chefs d'Etats des deux pays le choix de retenir l'itinéraire définitif sur la phase de réalisation de ce projet.
Les coûts d’un chemin de fer non électrifié pour la ligne ouest, c’est-à-dire Ngaoundéré-Garoua-Maroua-Kousséri-N’Djamena sont de 4 079,3 milliards de F. Quant à la ligne Est qui va de Ngaoundéré à N’Djamena en passant par Moundou, Kélo et Bongor, les deux pays auront besoin de 2 584,4 milliards de F.
Alors que la construction de la ligne centrale Ngaoundéré-Garoua-Figuil-Léré-Pal-Kélo-Bongor-N’Djaména nécessiterait 4 367 milliards de F. La construction de cette voie de chemin de fer permettra de concrétiser la vision du chef d'Etat de la République du Cameroun, Paul Biya et le chef d'Etat de la République du Tchad, Mahamat Idriss Deby Itno.
Le ministre des Transports camerounais a invité les bailleurs de fonds à saisir les opportunités économiques et les incitations à l'investissement qu'offre ce mégaprojet en empruntant le train de la modernisation des infrastructures ferroviaires.
Quant à la partie tchadienne, elle a fait un plaidoyer auprès des investisseurs et partenaires économiques pour mobiliser les fonds requis pour ce projet intégrateur non seulement pour la sous-région Afrique Centrale mais aussi pour toute l'Afrique, compte tenu de la position stratégique du Tchad.
Les parties camerounaise et tchadienne ont salué le bureau d'études et l'assistant technique pour avoir œuvré sans relâche à l'aboutissement des conclusions des études. Ce projet qui renforcera les liens d'amitié, de coopération et de fraternité entre les deux pays, va non seulement désenclaver la région du septentrion du Cameroun et le Tchad, mais aussi engendrer de nombreuses retombées économiques, fiscales et sociales.
Le consultant qui a remis les études de faisabilité et le rapport de l'assistance technique au ministre des Transports de la République du Cameroun et au ministre du Commerce et de l'Industrie de la République du Tchad, a réalisé trois études complètes sur un itinéraire total de plus de 2100 kilomètres afin de donner aux chefs d'Etats des deux pays le choix de retenir l'itinéraire définitif sur la phase de réalisation de ce projet.
Les coûts d’un chemin de fer non électrifié pour la ligne ouest, c’est-à-dire Ngaoundéré-Garoua-Maroua-Kousséri-N’Djamena sont de 4 079,3 milliards de F. Quant à la ligne Est qui va de Ngaoundéré à N’Djamena en passant par Moundou, Kélo et Bongor, les deux pays auront besoin de 2 584,4 milliards de F.
Alors que la construction de la ligne centrale Ngaoundéré-Garoua-Figuil-Léré-Pal-Kélo-Bongor-N’Djaména nécessiterait 4 367 milliards de F. La construction de cette voie de chemin de fer permettra de concrétiser la vision du chef d'Etat de la République du Cameroun, Paul Biya et le chef d'Etat de la République du Tchad, Mahamat Idriss Deby Itno.
Le ministre des Transports camerounais a invité les bailleurs de fonds à saisir les opportunités économiques et les incitations à l'investissement qu'offre ce mégaprojet en empruntant le train de la modernisation des infrastructures ferroviaires.
Quant à la partie tchadienne, elle a fait un plaidoyer auprès des investisseurs et partenaires économiques pour mobiliser les fonds requis pour ce projet intégrateur non seulement pour la sous-région Afrique Centrale mais aussi pour toute l'Afrique, compte tenu de la position stratégique du Tchad.
Les parties camerounaise et tchadienne ont salué le bureau d'études et l'assistant technique pour avoir œuvré sans relâche à l'aboutissement des conclusions des études. Ce projet qui renforcera les liens d'amitié, de coopération et de fraternité entre les deux pays, va non seulement désenclaver la région du septentrion du Cameroun et le Tchad, mais aussi engendrer de nombreuses retombées économiques, fiscales et sociales.