Il est désormais reconnu par tous que l’intelligence artificielle(IA) constitue l’innovation numérique qui a présenté au cours des dernières années, le potentiel le plus impressionnant, susceptible de repousser les frontières du réel pour le monde et pour l’Afrique.
Ses capacités étant de plus en plus en développement, il existe une certitude qu’elle sera une pièce majeure de changement, avec des implications irréfrénables, bouleversant tous les secteurs de la vie humaine, et très spécialement dans les médias. Car en effet, des recherches indiquent que l’intelligence artificielle perturbe les pratiques dans l’industrie médiatique.
Elle crée des possibilités sans précédent dans la conception des contenus, la production, la post-production, la gestion, etc. Générant des facilités, entre autres sur les textes, les images, les sons, les trucages, elle provoque alors une fascination qui à la fois enchante, mais aussi effraie. Business Wire estime que l’industrie des médias et du divertissement dépensera environ 1,8 milliard de dollars d’ici 2025 en IA. Contre 329 millions en 2019.
Il est alors clair que l’IA offrira incontestablement des opportunités aux médias africains, pourvu que ces derniers maîtrisent les turbulences et les vents favorables. Et dans ce contexte, l’UAR a jugé juste d'organiser du 04 au 06 mars prochain au Cameroun, un sommet sur le sujet. Les contours de l’événement ont été livrés à la presse par Grégoire Ndjaka, le principal responsable de cette organisation professionnelle de la radio et de la télévision en Afrique, le 28 février dernier.
Il était accompagné pour la circonstance du secrétaire général du ministère de la Communication du Cameroun, le Pr Félix zogo, représentant le porte-parole du gouvernement, René Emmanuel Sadi, du représentant du représentant-résident de l’UNESCO et du directeur de la coopération internationale au ministère des Postes et Télécommunications, représentant le chef de ce département ministériel.
Durant trois jours, il sera question au Palais des Congrès de Yaoundé, pour l’UAR et son partenaire onusien, avec la collaboration des experts en provenance du continent et d’ailleurs, de mener des discussions prospectives et ancrées dans le contexte sur le potentiel, les défis et les impacts de l’intelligence artificielle sur les médias locaux. Le but visé étant, a indiqué, Grégoire Ndjaka, de partager les expériences, d’élaborer des stratégies et de produire des recommandations concrètes et des synergies pour garantir que les médias africains suivent le rythme.
Au total, l’UAR entend profiter de ce sommet placé sous le thème : « Les nouvelles frontières des médias africains : L’intelligence artificielle », pour évaluer l’état actuel de préparation des médias du continent. Et établir les bases d’un plaidoyer en faveur de politiques régionales cohérentes.
De façon spécifique, la conférence dédiée aux hauts responsables des médias africains et leurs collaborateurs, se veut un cadre approprié pour réfléchir de manière adéquate, aux possibles stratégies pour l’utilisation optimale, équitable et durable de l’IA, spécifiquement adaptées aux défis des médias africains. Ou encore un cadre de gouvernance axé sur la collaboration, afin de limiter les impacts négatifs de l’IA sur les médias en Afrique. Où enfin, de favoriser les partenariats entre les organisations intergouvernementales, les entrepreneurs en IA et les acteurs des médias africains.
Par ailleurs, en marge de l’événement dont l’importance n’est plus à démontrer, en ceci qu’il va accueillir près de 42 pays et plus de 1000 participants, il sera procédé par l’UAR au lancement de sa fondation contre le cancer, au cours d’une soirée de gala de levée de fonds. L’objectif poursuivi par cette coalition des médias, dans la lutte contre le cancer, étant de sensibiliser au maximum les populations afin de prévenir ce fléau.
Toute chose qui passe, a conclu le directeur général de l’UAR, par la formation des professionnels des médias.
Ses capacités étant de plus en plus en développement, il existe une certitude qu’elle sera une pièce majeure de changement, avec des implications irréfrénables, bouleversant tous les secteurs de la vie humaine, et très spécialement dans les médias. Car en effet, des recherches indiquent que l’intelligence artificielle perturbe les pratiques dans l’industrie médiatique.
Elle crée des possibilités sans précédent dans la conception des contenus, la production, la post-production, la gestion, etc. Générant des facilités, entre autres sur les textes, les images, les sons, les trucages, elle provoque alors une fascination qui à la fois enchante, mais aussi effraie. Business Wire estime que l’industrie des médias et du divertissement dépensera environ 1,8 milliard de dollars d’ici 2025 en IA. Contre 329 millions en 2019.
Il est alors clair que l’IA offrira incontestablement des opportunités aux médias africains, pourvu que ces derniers maîtrisent les turbulences et les vents favorables. Et dans ce contexte, l’UAR a jugé juste d'organiser du 04 au 06 mars prochain au Cameroun, un sommet sur le sujet. Les contours de l’événement ont été livrés à la presse par Grégoire Ndjaka, le principal responsable de cette organisation professionnelle de la radio et de la télévision en Afrique, le 28 février dernier.
Il était accompagné pour la circonstance du secrétaire général du ministère de la Communication du Cameroun, le Pr Félix zogo, représentant le porte-parole du gouvernement, René Emmanuel Sadi, du représentant du représentant-résident de l’UNESCO et du directeur de la coopération internationale au ministère des Postes et Télécommunications, représentant le chef de ce département ministériel.
Durant trois jours, il sera question au Palais des Congrès de Yaoundé, pour l’UAR et son partenaire onusien, avec la collaboration des experts en provenance du continent et d’ailleurs, de mener des discussions prospectives et ancrées dans le contexte sur le potentiel, les défis et les impacts de l’intelligence artificielle sur les médias locaux. Le but visé étant, a indiqué, Grégoire Ndjaka, de partager les expériences, d’élaborer des stratégies et de produire des recommandations concrètes et des synergies pour garantir que les médias africains suivent le rythme.
Au total, l’UAR entend profiter de ce sommet placé sous le thème : « Les nouvelles frontières des médias africains : L’intelligence artificielle », pour évaluer l’état actuel de préparation des médias du continent. Et établir les bases d’un plaidoyer en faveur de politiques régionales cohérentes.
De façon spécifique, la conférence dédiée aux hauts responsables des médias africains et leurs collaborateurs, se veut un cadre approprié pour réfléchir de manière adéquate, aux possibles stratégies pour l’utilisation optimale, équitable et durable de l’IA, spécifiquement adaptées aux défis des médias africains. Ou encore un cadre de gouvernance axé sur la collaboration, afin de limiter les impacts négatifs de l’IA sur les médias en Afrique. Où enfin, de favoriser les partenariats entre les organisations intergouvernementales, les entrepreneurs en IA et les acteurs des médias africains.
Par ailleurs, en marge de l’événement dont l’importance n’est plus à démontrer, en ceci qu’il va accueillir près de 42 pays et plus de 1000 participants, il sera procédé par l’UAR au lancement de sa fondation contre le cancer, au cours d’une soirée de gala de levée de fonds. L’objectif poursuivi par cette coalition des médias, dans la lutte contre le cancer, étant de sensibiliser au maximum les populations afin de prévenir ce fléau.
Toute chose qui passe, a conclu le directeur général de l’UAR, par la formation des professionnels des médias.