La secrétaire générale du ministère du Commerce du Cameroun, le Pr Brusil Miranda Metou, a présidé le 25 juin dernier, au nom du ministre du Commerce Luc Magloire Mbarga Atangana empêché, la cérémonie d’ouverture du séminaire atelier sur la gestion durable des déchets.
Ces assises se tiennent en prélude à l’organisation de la prochaine Journée Mondiale de la Métrologie, dont l’édition 2024, prévue le 5 juillet prochain, a pour thème : « Mesurons aujourd’hui pour un avenir durable ».
En présence des représentants des administrations et organismes publics, de l’UNESCO, du Conseil National de la Consommation (CONACO), des sociétés agrées, des promoteurs du « made in Cameroon », et des chercheurs, plusieurs préoccupations ont été soulevées par les PME/TPME, à l’instar de la question d’emballages dont les prix sont jugés élevés et celle de la protection de l’environnement.
Selon Freddy Noa Ava, directeur de la Métrologie, des Prix, et de la Qualité de la Métrologie (DMQP) au ministère du Commerce par ailleurs modérateur des travaux, cette situation s’explique par le fait qu’ « à cause de la guerre russo-ukrainienne, les emballages ont connu une inflation. Le Cameroun souffre des facteurs exogènes. Nous sommes devenus très regardants.En ce qui concerne les changements climatiques, on ne représente pas grand-chose au niveau de la destruction de la couche d’ozone ».
En effet, la gestion durable des déchets est devenue une préoccupation mondiale. Ce qui explique la mise en place des activités qui permettent d’assainir l’environnement, et de penser aux générations futures.
« Une action climatique efficace doit être basée sur des technologies de mesure qui quantifient les émissions et variables climatiques essentielles, ainsi que permettre de surveiller l’efficacité des stratégies d’atténuation », a déclaré le secrétaire général du ministère du Commerce.
La rencontre a permis aux participants d’accroitre les connaissances dans ce segment de la gestion environnementale et de développement durable, pour améliorer leurs processus, partant du champ à la consommation, en passant par la transformation. Il s’agit de s’arrimer à la nouvelle donne de la compétitivité imposée par la concurrence internationale.
Pour cela, il faut mettre au centre des activités, la bonne mesure des impacts sur l’environnement et le climat. Les échanges qui avaient pour cadre l’immeuble de la CSPH, se sont articulés autour des ateliers eau comme ressource, apport de la métrologie dans la connaissance des phénomènes climatiques, et dans la connaissance des émissions polluantes dans notre environnement, et la foire exposition des produits locaux.
Ces assises se tiennent en prélude à l’organisation de la prochaine Journée Mondiale de la Métrologie, dont l’édition 2024, prévue le 5 juillet prochain, a pour thème : « Mesurons aujourd’hui pour un avenir durable ».
En présence des représentants des administrations et organismes publics, de l’UNESCO, du Conseil National de la Consommation (CONACO), des sociétés agrées, des promoteurs du « made in Cameroon », et des chercheurs, plusieurs préoccupations ont été soulevées par les PME/TPME, à l’instar de la question d’emballages dont les prix sont jugés élevés et celle de la protection de l’environnement.
Selon Freddy Noa Ava, directeur de la Métrologie, des Prix, et de la Qualité de la Métrologie (DMQP) au ministère du Commerce par ailleurs modérateur des travaux, cette situation s’explique par le fait qu’ « à cause de la guerre russo-ukrainienne, les emballages ont connu une inflation. Le Cameroun souffre des facteurs exogènes. Nous sommes devenus très regardants.En ce qui concerne les changements climatiques, on ne représente pas grand-chose au niveau de la destruction de la couche d’ozone ».
En effet, la gestion durable des déchets est devenue une préoccupation mondiale. Ce qui explique la mise en place des activités qui permettent d’assainir l’environnement, et de penser aux générations futures.
« Une action climatique efficace doit être basée sur des technologies de mesure qui quantifient les émissions et variables climatiques essentielles, ainsi que permettre de surveiller l’efficacité des stratégies d’atténuation », a déclaré le secrétaire général du ministère du Commerce.
La rencontre a permis aux participants d’accroitre les connaissances dans ce segment de la gestion environnementale et de développement durable, pour améliorer leurs processus, partant du champ à la consommation, en passant par la transformation. Il s’agit de s’arrimer à la nouvelle donne de la compétitivité imposée par la concurrence internationale.
Pour cela, il faut mettre au centre des activités, la bonne mesure des impacts sur l’environnement et le climat. Les échanges qui avaient pour cadre l’immeuble de la CSPH, se sont articulés autour des ateliers eau comme ressource, apport de la métrologie dans la connaissance des phénomènes climatiques, et dans la connaissance des émissions polluantes dans notre environnement, et la foire exposition des produits locaux.