MULLER Stéphane et le commandant de compagnie de la gendarmerie de Mfou doivent passer au tribunal militaire
COMMUNIQUE
Le comité international de libération (CIL) manifeste sa reconnaissance au président de la république camerounais Paul BIYA, au secrétaire général des nations unies BAN KI MOON ,aux médias internationaux et à toute la communauté internationale pour la mobilisation qui a été la leur pendant les 18 jours de captivité donc a été victime l’humanitaire ETOUNOU Lucien et pour sa libération intervenue le 24 mai 2016.
MULLER Stéphane le financier et l’organisateur de l’opération de prise d’otage et l’exécuteur capitaine E.MULUH BAMUH commandant de la compagnie de gendarmerie de Mfou doivent impérativement être mis aux arrêts et jugés au tribunal militaire.
Le CIL exhorte toutes les parties prenantes à la libération de l’humanitaire à continuer à se mobiliser pour que tous les autres individus impliqués de prés ou de loin dans cette prise d’otage soient arrêtés et jugés et que les délégués du personnel abusivement licenciés recouvrent tous leurs droits antérieurs et ceux liés au licenciement. Enfin que le gouvernement appuie le ministre du travail dans l’application de ses décisions contre les magouilles de la société fabrique camerounaise de parquet(FIPCAM).
Nos efforts seront sans limite.
Coordonnatrice générale
GWENDOLINE KUSA
Comité international de libération (CIL)
Washington, le 30 mai 2016
Le comité international de libération (CIL) manifeste sa reconnaissance au président de la république camerounais Paul BIYA, au secrétaire général des nations unies BAN KI MOON ,aux médias internationaux et à toute la communauté internationale pour la mobilisation qui a été la leur pendant les 18 jours de captivité donc a été victime l’humanitaire ETOUNOU Lucien et pour sa libération intervenue le 24 mai 2016.
MULLER Stéphane le financier et l’organisateur de l’opération de prise d’otage et l’exécuteur capitaine E.MULUH BAMUH commandant de la compagnie de gendarmerie de Mfou doivent impérativement être mis aux arrêts et jugés au tribunal militaire.
Le CIL exhorte toutes les parties prenantes à la libération de l’humanitaire à continuer à se mobiliser pour que tous les autres individus impliqués de prés ou de loin dans cette prise d’otage soient arrêtés et jugés et que les délégués du personnel abusivement licenciés recouvrent tous leurs droits antérieurs et ceux liés au licenciement. Enfin que le gouvernement appuie le ministre du travail dans l’application de ses décisions contre les magouilles de la société fabrique camerounaise de parquet(FIPCAM).
Nos efforts seront sans limite.
Coordonnatrice générale
GWENDOLINE KUSA
Comité international de libération (CIL)
Washington, le 30 mai 2016