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Cameroun : trois trafiquants d’ossements humains condamnés à Douala
Le Tribunal de Première Instance de Douala-Bonaberi a récemment condamné à cinq ans de prison, trois personnes pour trafic d’ossements humains. En effet, Ako Vialli Ebot, Che Eric et Ramdy Guemoh, ont été reconnus coupables de trafic d'ossements humains par le Tribunal le 28 octobre 2022, au terme de deux audiences.
Ils ont été arrêtés le 19 septembre 2022 à Douala, lors d'une opération coup de poing menée par la police judiciaire. Ensuite, ils ont été trouvés en possession de deux squelettes humains qu'ils tentaient de vendre.
Les trois hommes ont été arrêtés au quartier Bonaberi avec les restes humains soigneusement dissimulés dans un grand sac rose. Leur arrestation est le résultat d'une longue enquête sur le trafic d'écailles de pangolin et de peaux de panthère vers l'Inde. Ces enquêtes ont impliqué des activistes de l'environnement en Inde, qui ont fourni des informations importantes ayant permis leur arrestation.
Le trafic d'ossements humains prend désormais une nouvelle dimension périlleuse au Cameroun. Les restes humains sont généralement déterrés des tombes. Et ce n'est pas la première fois que LAGA aide les forces de l'ordre à appréhender les trafiquants d'ossements humains.
L'année dernière, le Tribunal de Première Instance de Foumbot, dans la région de l’Ouest, a condamné deux trafiquants à 5 ans de prison. Ils avaient été arrêtés avec deux squelettes humains, lors d'une opération menée par la brigade de gendarmerie de Foumbot, en collaboration avec LAGA, en juin 2020. Le lien entre le trafic d'espèces sauvages et le trafic des organes humains a évolué au fil des années, devenant étroitement lié.
Plusieurs arrestations menées au fil des années, dans le cadre du partenariat de lutte contre la criminalité faunique entre LAGA et le ministère des Forêts et de la Faune, ont permis de repérer des trafiquants avec divers produits illicites : drogues, organes humains et espèces sauvages. Ce partenariat a été mis en place pour traquer et arrêter les trafiquants d'espèces sauvages.
Ils ont été arrêtés le 19 septembre 2022 à Douala, lors d'une opération coup de poing menée par la police judiciaire. Ensuite, ils ont été trouvés en possession de deux squelettes humains qu'ils tentaient de vendre.
Les trois hommes ont été arrêtés au quartier Bonaberi avec les restes humains soigneusement dissimulés dans un grand sac rose. Leur arrestation est le résultat d'une longue enquête sur le trafic d'écailles de pangolin et de peaux de panthère vers l'Inde. Ces enquêtes ont impliqué des activistes de l'environnement en Inde, qui ont fourni des informations importantes ayant permis leur arrestation.
Le trafic d'ossements humains prend désormais une nouvelle dimension périlleuse au Cameroun. Les restes humains sont généralement déterrés des tombes. Et ce n'est pas la première fois que LAGA aide les forces de l'ordre à appréhender les trafiquants d'ossements humains.
L'année dernière, le Tribunal de Première Instance de Foumbot, dans la région de l’Ouest, a condamné deux trafiquants à 5 ans de prison. Ils avaient été arrêtés avec deux squelettes humains, lors d'une opération menée par la brigade de gendarmerie de Foumbot, en collaboration avec LAGA, en juin 2020. Le lien entre le trafic d'espèces sauvages et le trafic des organes humains a évolué au fil des années, devenant étroitement lié.
Plusieurs arrestations menées au fil des années, dans le cadre du partenariat de lutte contre la criminalité faunique entre LAGA et le ministère des Forêts et de la Faune, ont permis de repérer des trafiquants avec divers produits illicites : drogues, organes humains et espèces sauvages. Ce partenariat a été mis en place pour traquer et arrêter les trafiquants d'espèces sauvages.
