Depuis neuf mois, ce pâtissier de formation présente ce nouveau produit qui se veut non seulement alimentaire et susceptible d’être thérapeutique, mais aussi comme intrant agricole. Son parcours jusque-là modeste, augure des lendemains meilleurs.
Ainsi d’octobre à décembre 2015, il participe aux foires organisées tour à tour par le ministère des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Economie sociale et de l’Artisanat, le ministère de l’Agriculture et du Développement rural, le ministère de la Recherche scientifique et de l’Innovation, au travers de son programme (Jersic) 2015 et a déjà dans son escarcelle deux diplômes d’excellence qui lui octroient le droit de participer au Salon international de l’Artisanat du Cameroun (Siarc) en mars 2015.
D’autres prix ont été engrangés pour le compte de sa participation au comice agropastoral régional d’Ebolowa 2015, sous les auspices du ministre délégué auprès du ministère de l’Agriculture et du Développement rural ; il reçoit également un diplôme d’honneur à lui décerné par le gouverneur du Sud. Ceci dans la filière transformation manioc.
Valorisation d’une nouvelle farine
Dans la même période, il reçoit une invitation de la présidente de la Société coopérative de producteurs de manioc à Ngoulemakong pour participer à la 6e édition de la fête du manioc organisée par cette structure. Le jeune homme présente des ambitions objectives : « Je souhaite, dit-il, créer une usine qui permettra de recycler, traiter, transformer et stocker la farine de cette peau qui servira à l’alimentation dans le monde entier ». Une industrie comme celle-là, viendra à coup sûr, résorber en partie le chômage des jeunes en leur apportant des moyens de subsistance.
Ses difficultés sont énormes, et beaucoup plus d’ordre financier. La main d’œuvre et le matériel technique sont essentiels pour que la valorisation de cette nouvelle farine soit efficace. « Je fais appel aux pouvoirs publics, aux bailleurs de fonds et même à des personnes ayant le souci du développement de notre pays de voir cette industrie se mettre en place pour le grand bonheur de tout le Cameroun », déclare le promoteur de la farine Ewotson dans son plaidoyer pour vaincre la pauvreté, le chômage et la souffrance.
Depuis le 31 mars dernier, le pâtissier a déposé une demande de brevet auprès de l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle (Oapi) pour cette mise au point d’un procédé de transformation des peaux de manioc en farine alimentaire comestible. C’était dans le cadre de la dernière édition du Siarc tenue à Yaoundé.
Ainsi d’octobre à décembre 2015, il participe aux foires organisées tour à tour par le ministère des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Economie sociale et de l’Artisanat, le ministère de l’Agriculture et du Développement rural, le ministère de la Recherche scientifique et de l’Innovation, au travers de son programme (Jersic) 2015 et a déjà dans son escarcelle deux diplômes d’excellence qui lui octroient le droit de participer au Salon international de l’Artisanat du Cameroun (Siarc) en mars 2015.
D’autres prix ont été engrangés pour le compte de sa participation au comice agropastoral régional d’Ebolowa 2015, sous les auspices du ministre délégué auprès du ministère de l’Agriculture et du Développement rural ; il reçoit également un diplôme d’honneur à lui décerné par le gouverneur du Sud. Ceci dans la filière transformation manioc.
Valorisation d’une nouvelle farine
Dans la même période, il reçoit une invitation de la présidente de la Société coopérative de producteurs de manioc à Ngoulemakong pour participer à la 6e édition de la fête du manioc organisée par cette structure. Le jeune homme présente des ambitions objectives : « Je souhaite, dit-il, créer une usine qui permettra de recycler, traiter, transformer et stocker la farine de cette peau qui servira à l’alimentation dans le monde entier ». Une industrie comme celle-là, viendra à coup sûr, résorber en partie le chômage des jeunes en leur apportant des moyens de subsistance.
Ses difficultés sont énormes, et beaucoup plus d’ordre financier. La main d’œuvre et le matériel technique sont essentiels pour que la valorisation de cette nouvelle farine soit efficace. « Je fais appel aux pouvoirs publics, aux bailleurs de fonds et même à des personnes ayant le souci du développement de notre pays de voir cette industrie se mettre en place pour le grand bonheur de tout le Cameroun », déclare le promoteur de la farine Ewotson dans son plaidoyer pour vaincre la pauvreté, le chômage et la souffrance.
Depuis le 31 mars dernier, le pâtissier a déposé une demande de brevet auprès de l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle (Oapi) pour cette mise au point d’un procédé de transformation des peaux de manioc en farine alimentaire comestible. C’était dans le cadre de la dernière édition du Siarc tenue à Yaoundé.