C’est assurément un projet novateur qui vise à faciliter l’accès au crédit des toutes petites entreprises.
Portée par le Cabinet FinAfrique dirigé par Fabrice Kom Tchuente, cette initiative vise à faciliter l'accès au crédit des acteurs du secteur informel, ainsi que des Très Petites et Moyennes Entreprises (TPME) au Cameroun.Selon les estimations du Gicam (devenu Gecam), le secteur informel représente 86% du produit intérieur brut (PIB) et constitue 90% du potentiel de l’économie nationale.
Le projet Inclusive Bond consiste à lever des fonds sur le marché financier, qui sont ensuite alloués aux établissements de microfinance locaux. Ces fonds sont destinés à financer le secteur informel et les TPME, en leur offrant des conditions adaptées à leurs activités et facilement accessibles. Cette approche permettra de dynamiser le secteur informel, et de soutenir le développement des TPME, qui jouent un rôle clé dans l'économie camerounaise.
La concrétisation de ce projet a nécessité près de cinq ans de travail et d'échanges entre le Cabinet FinAfrique, le gouvernement et les acteurs concernés. Deux études sur la pertinence et la faisabilité du projet ont été réalisées pour garantir sa viabilité.
Organisé avec le soutien du Programme des Nations Unies pourle Développement (PNUD) et du Centre de Recherche et du Développement International du Canada (CRDI), l'atelier de ce 19 décembre marque le point de départ de la mise en œuvre effective du projet, dont le lance ministère des Finances, a souligné que les objectifs de politique économique du gouvernement, tels que définis par le président Paul Biya, sont consignés dans la Stratégie Nationale de Développement 2020-2030.
En effet, cette stratégie vise une transformer structurelle de l'économie camerounaise, en favorisant son industrialisation et la valorisation locale des produits, tout en promouvant la politique d'import-substitution et la diversification des exportations. Le ministre du Commerce a également souligné l'importance d'un processus inclusif qui prend en compte l'ensemble des acteurs, en particulier les TPME.
De même, il a rappelé le rôle majeur que ces entreprises continuent d’impacter positivement dans le développement de nombreuses économies modernes. De plus, le secteur informel, qui représente une part significative de l'économie camerounaise, ne doit pas être négligé dans cette démarche.
Et comme l’a rappelé le secrétaire général du ministère des Finances, Gilbert Didier Edoa, « le premier défi du secteur formel est son financement ». Cela dit, au terme de l’atelier, l’on attend ses premiers fruits, à travers le lancement effectif des financements.
Portée par le Cabinet FinAfrique dirigé par Fabrice Kom Tchuente, cette initiative vise à faciliter l'accès au crédit des acteurs du secteur informel, ainsi que des Très Petites et Moyennes Entreprises (TPME) au Cameroun.Selon les estimations du Gicam (devenu Gecam), le secteur informel représente 86% du produit intérieur brut (PIB) et constitue 90% du potentiel de l’économie nationale.
Le projet Inclusive Bond consiste à lever des fonds sur le marché financier, qui sont ensuite alloués aux établissements de microfinance locaux. Ces fonds sont destinés à financer le secteur informel et les TPME, en leur offrant des conditions adaptées à leurs activités et facilement accessibles. Cette approche permettra de dynamiser le secteur informel, et de soutenir le développement des TPME, qui jouent un rôle clé dans l'économie camerounaise.
La concrétisation de ce projet a nécessité près de cinq ans de travail et d'échanges entre le Cabinet FinAfrique, le gouvernement et les acteurs concernés. Deux études sur la pertinence et la faisabilité du projet ont été réalisées pour garantir sa viabilité.
Organisé avec le soutien du Programme des Nations Unies pourle Développement (PNUD) et du Centre de Recherche et du Développement International du Canada (CRDI), l'atelier de ce 19 décembre marque le point de départ de la mise en œuvre effective du projet, dont le lance ministère des Finances, a souligné que les objectifs de politique économique du gouvernement, tels que définis par le président Paul Biya, sont consignés dans la Stratégie Nationale de Développement 2020-2030.
En effet, cette stratégie vise une transformer structurelle de l'économie camerounaise, en favorisant son industrialisation et la valorisation locale des produits, tout en promouvant la politique d'import-substitution et la diversification des exportations. Le ministre du Commerce a également souligné l'importance d'un processus inclusif qui prend en compte l'ensemble des acteurs, en particulier les TPME.
De même, il a rappelé le rôle majeur que ces entreprises continuent d’impacter positivement dans le développement de nombreuses économies modernes. De plus, le secteur informel, qui représente une part significative de l'économie camerounaise, ne doit pas être négligé dans cette démarche.
Et comme l’a rappelé le secrétaire général du ministère des Finances, Gilbert Didier Edoa, « le premier défi du secteur formel est son financement ». Cela dit, au terme de l’atelier, l’on attend ses premiers fruits, à travers le lancement effectif des financements.