Djotodia parade dans les rues de Bangui lors de son arrivé au pouvoir. Crédit photo : Sia Kambou
Aujourd’hui et à nouveau, la situation qui prévaut en RCA doit rappeler plus d’un africain en général et d’un Centrafricain en particulier la responsabilité de Michel Djotodia sur les tristes sorts nationaux. Donc nous patriotes et résistants avons à un désir ardent pour le changement de régime, de liberté, de démocratie, de justice et d’un Etat de droit débarrassé de toutes les tendances dictatoriales de la seleka dont fait preuve le régime actuel d’un chef de bande d’association des voyous dirigé par un certain Djotodia.
Tour à tour les peuples des différents pays africains ont remonté le cours de l’histoire avec la chute des régimes dictatoriaux. Mais, très vite ils se sont vus déchantés car, une fois au pouvoir, les leaders aux pouvoirs se sont laissés tenter par les mêmes égocentrismes qu’ils ont pourtant combattus avec acharnement. L’espoir des peuples à un Etat de droit, de justice, de liberté, de démocratie politique multipartiste, s’éloigné, s’effrite sous nos horizons en Afrique. Les derniers événements de la Tunisie et de l’Egypte qui ont fait chuter des vieux despotes et des régimes monarchiques sont un signe patent d’espoir et une flamme de la liberté à mettre à l’actif de la jeunesse décidée à découdre avec des régimes surannés et odieux. Pendant ce temps, en Afrique sub- saharienne la prise de conscience, le dynamisme et la mobilisation tardent à se concrétiser alors que, les régimes qui actuellement sévissent sont identiques à ceux qui sont combattus dans les pays précités (Tunisie, Egypte). Les jeunes, les femmes et les hommes de Centrafrique doivent suivre l’exemple des frères Tunisiens, Egyptiens. La peur et la hantise du risque ne doivent pas prendre place au courage et à la détermination, la citoyenneté doit se révélé dans tout son état et dans la conduite des populations, les libertés confisquées par les régimes doivent être arrachées, la dignité d’un peuple ne peut être indéfiniment bafouée sur l’autel des considérations mercantiles.
Tour à tour les peuples des différents pays africains ont remonté le cours de l’histoire avec la chute des régimes dictatoriaux. Mais, très vite ils se sont vus déchantés car, une fois au pouvoir, les leaders aux pouvoirs se sont laissés tenter par les mêmes égocentrismes qu’ils ont pourtant combattus avec acharnement. L’espoir des peuples à un Etat de droit, de justice, de liberté, de démocratie politique multipartiste, s’éloigné, s’effrite sous nos horizons en Afrique. Les derniers événements de la Tunisie et de l’Egypte qui ont fait chuter des vieux despotes et des régimes monarchiques sont un signe patent d’espoir et une flamme de la liberté à mettre à l’actif de la jeunesse décidée à découdre avec des régimes surannés et odieux. Pendant ce temps, en Afrique sub- saharienne la prise de conscience, le dynamisme et la mobilisation tardent à se concrétiser alors que, les régimes qui actuellement sévissent sont identiques à ceux qui sont combattus dans les pays précités (Tunisie, Egypte). Les jeunes, les femmes et les hommes de Centrafrique doivent suivre l’exemple des frères Tunisiens, Egyptiens. La peur et la hantise du risque ne doivent pas prendre place au courage et à la détermination, la citoyenneté doit se révélé dans tout son état et dans la conduite des populations, les libertés confisquées par les régimes doivent être arrachées, la dignité d’un peuple ne peut être indéfiniment bafouée sur l’autel des considérations mercantiles.
Simon koitoua.
Aussi bien, au nom du droit de la protection du peuple Centrafricain de la dictature seleka, l’opinion internationale doit se prononcer et, les Centrafricains au premier rang de ce combat doivent donner le ton d’un changement immédiat de régime seleka. Un régime constitué d’association des voyous qui dure longtemps au pouvoir ne survit que par la corruption, la confiscation des libertés publiques, le clientélisme, la concussion, le pillage et détournements des biens publics aux mépris d’une gestion saine, juste selon l’éthique, la responsabilité et, l’orthodoxie.
Les patriotes Centrafricains appellent tout le peuple Centrafricain , les leaders d’opinion, les intellectuels, les fonctionnaires, les sans-emplois ou chômeurs, les élèves et étudiants, les paysans éleveurs et agriculteurs, les commerçants, les forces armées, de l’ordre et de sécurité, les jeunes, les femmes et, les hommes à se soulever et opposer une résistance totale par tous les moyens au pouvoir dictatoriale, liberticide, répressif, de concussion, de corrompu, clanique, tribaliste et népotiste d’un attarde mental Michel Djotodia afin de parvenir à un changement de régime par une période courte de transition vers une alternance de pouvoir aux respects des règles et des principes démocratique pour que la Centrafrique puisse, enfin, vivre une ère de liberté, de démocratie politique multipartiste, de justice, d’un Etat de droit.
Les dignes fils de la Centrafrique qui ont refusé la concussion, la corruption et les méfaits du régime Djotodia sont mobilisées pour être dans le peuple et avec le peuple pour le combat du crépuscule d’un régime aux noms des valeurs et des principes qui nous sont tous chers et, contre les maux qui empêchent le décollage économique et l’amélioration des conditions sociales des Centrafricains DJOTODIA DOIT PARTIR
Simon koitoua
Les patriotes Centrafricains appellent tout le peuple Centrafricain , les leaders d’opinion, les intellectuels, les fonctionnaires, les sans-emplois ou chômeurs, les élèves et étudiants, les paysans éleveurs et agriculteurs, les commerçants, les forces armées, de l’ordre et de sécurité, les jeunes, les femmes et, les hommes à se soulever et opposer une résistance totale par tous les moyens au pouvoir dictatoriale, liberticide, répressif, de concussion, de corrompu, clanique, tribaliste et népotiste d’un attarde mental Michel Djotodia afin de parvenir à un changement de régime par une période courte de transition vers une alternance de pouvoir aux respects des règles et des principes démocratique pour que la Centrafrique puisse, enfin, vivre une ère de liberté, de démocratie politique multipartiste, de justice, d’un Etat de droit.
Les dignes fils de la Centrafrique qui ont refusé la concussion, la corruption et les méfaits du régime Djotodia sont mobilisées pour être dans le peuple et avec le peuple pour le combat du crépuscule d’un régime aux noms des valeurs et des principes qui nous sont tous chers et, contre les maux qui empêchent le décollage économique et l’amélioration des conditions sociales des Centrafricains DJOTODIA DOIT PARTIR
Simon koitoua