« Initialement attendues en 2016, les études de faisabilité du projet d’extension du chemin de fer camerounais à Ndjamena (Tchad), à partir du terminal ferroviaire de N’Gaoundéré, la capitale régionale de l’Adamaoua, devraient enfin être disponibles au début de l’année 2024 », a annoncé, lundi, Investir Au Cameroun, un journal web francophone et anglophone camerounais.
« Sur cette étape du projet, l’on s’achemine ainsi vers la fin d’une attente qui dure depuis 8 ans, en raison notamment des lenteurs administratives liées au décaissement par les pays partis au projet, des financements mis à disposition par la Banque africaine de développement (BAD), pour conduire ces études. Elles permettront notamment d’être fixé sur le tracé définitif de cette ligne de chemin de fer entre le Cameroun et le Tchad, ainsi que sur son coût, que les premières estimations situent entre 1160 et 1400 milliards de FCFA, selon le tracé choisi », a indiqué le journal.
En février 2021, la Banque africaine de développement (BAD) avait octroyé un prêt d'un montant de 2 millions d'unités de compte, soit environ 1,6 milliard de francs CFA (2,4 millions EUR) en vue du financement de cette étude de faisabilité du prolongement de la voie ferrée entre le Cameroun et le Tchad.
L’accord y relatif avait été signé à Yaoundé le 20 février entre le ministre camerounais de l’Economie et de la Planification, Alamine Ousmane Mey, et le représentant pays de la BAD. C’était en présence du ministre des Transports de la République du Cameroun et du ministre des Infrastructures et des Transports de la République du Tchad.
L’étude dans sa globalité est prévue pour durer 36 mois. Identifiée comme l'un des projets du Programme régional de développement des infrastructures de transport de la CEMAC, cette ligne qui revêt un statut intégrateur achèvera la liaison de transport multimodal entre les deux pays. En effet, la quasi-totalité des importations et exportations du Tchad est acheminée par route le long du corridor Douala – N'Djamena, lesquelles transitent par le port de Douala.
« Sur cette étape du projet, l’on s’achemine ainsi vers la fin d’une attente qui dure depuis 8 ans, en raison notamment des lenteurs administratives liées au décaissement par les pays partis au projet, des financements mis à disposition par la Banque africaine de développement (BAD), pour conduire ces études. Elles permettront notamment d’être fixé sur le tracé définitif de cette ligne de chemin de fer entre le Cameroun et le Tchad, ainsi que sur son coût, que les premières estimations situent entre 1160 et 1400 milliards de FCFA, selon le tracé choisi », a indiqué le journal.
En février 2021, la Banque africaine de développement (BAD) avait octroyé un prêt d'un montant de 2 millions d'unités de compte, soit environ 1,6 milliard de francs CFA (2,4 millions EUR) en vue du financement de cette étude de faisabilité du prolongement de la voie ferrée entre le Cameroun et le Tchad.
L’accord y relatif avait été signé à Yaoundé le 20 février entre le ministre camerounais de l’Economie et de la Planification, Alamine Ousmane Mey, et le représentant pays de la BAD. C’était en présence du ministre des Transports de la République du Cameroun et du ministre des Infrastructures et des Transports de la République du Tchad.
L’étude dans sa globalité est prévue pour durer 36 mois. Identifiée comme l'un des projets du Programme régional de développement des infrastructures de transport de la CEMAC, cette ligne qui revêt un statut intégrateur achèvera la liaison de transport multimodal entre les deux pays. En effet, la quasi-totalité des importations et exportations du Tchad est acheminée par route le long du corridor Douala – N'Djamena, lesquelles transitent par le port de Douala.