S’agissant des vicissitudes de la démocratie en Chine, selon le Pr Ding Yifan, la notion de démocratie a été introduite en Chine au moment du renversement de la dernière dynastie Qing en 1911, puis utilisée comme instrument politique par des partis pour combattre leurs adversaires politiques, jusqu’à la dernière guerre civile, entre le parti communiste chinois (PCC), et le Guomintang. Le pic de la démocratie est arrivé pendant la révolution culturelle.
Le PCC est paralysée, le gouvernement remplacé par des comités révolutionnaires autonomes. Après 10 ans de bouleversement, la réforme et l'ouverture étaient au rendez-vous.
La démocratie participative et délibérative : Ding Yifan a également affirmé que la Chine contemporaine est soucieuse de la participation du peuple à la chose publique.
En effet, la démocratie participative et délibérative permet aux citoyens d’exprimer davantage leurs opinions dans le processus décisionnel, et les décideurs en conséquence sont appelés à prendre en compte leur préoccupation, et ils ne peuvent prendre que des mesures conformément aux lois et tendances générales du développement social, et aux exigences de la majorité du peuple.
Le dialogue de sourds entre l'Occident et la Chine sur la notion de la démocratie : D'après le Pr Ding Yifan, l’idéal de la gouvernance publique en Chine est totalement différent de celui de l’Occident. Les progrès réalisés ici dans le domaine de la gouvernance publique sont considérés par les peuples comme une avancée de la démocratie. Ils croient que le meilleur modèle de gouvernance est celui où les dirigeants sont ouverts d'esprit, courtois et capables d'écouter les différentes opinions.
Tandis que ces revendications sont mal comprises pour le camp d'en face. Quels que soient les efforts déployés par le gouvernement chinois pour répondre aux attentes du peuple, la version chinoise de la démocratie ne signifie pas grand-chose pour la partie adverse, poursuit-il.
Mais en occident, le modèle démocratique est en difficulté de nos jours, a renchéri le Pr Ding Yifan. Ce modèle engendre beaucoup de problèmes qu'il n'en procure, en ce sens que l’économie des pays occidentaux est en récession, suivie par le réveil des pays africains, et que la montée du sud global rend l’ancien modèle d’exploitation des ressources des pays du sud par l’Occident impraticable.
Il convient de rappeler que depuis un certain temps, les dirigeants chinois rétorquent l’accusation sur l’autoritarisme chinois, par la qualification du système chinois de démocratie du processus total. Le Pr Ding Yifan, est diplômé de l'Institut des langues étrangère de Pékin. Il avait poursuivi ses études à l'Institut d'études politiques de Bordeaux et a fait son doctorat en sciences politiques à la faculté de droit, à l'Université de Bordeaux en France.
Le PCC est paralysée, le gouvernement remplacé par des comités révolutionnaires autonomes. Après 10 ans de bouleversement, la réforme et l'ouverture étaient au rendez-vous.
La démocratie participative et délibérative : Ding Yifan a également affirmé que la Chine contemporaine est soucieuse de la participation du peuple à la chose publique.
En effet, la démocratie participative et délibérative permet aux citoyens d’exprimer davantage leurs opinions dans le processus décisionnel, et les décideurs en conséquence sont appelés à prendre en compte leur préoccupation, et ils ne peuvent prendre que des mesures conformément aux lois et tendances générales du développement social, et aux exigences de la majorité du peuple.
Le dialogue de sourds entre l'Occident et la Chine sur la notion de la démocratie : D'après le Pr Ding Yifan, l’idéal de la gouvernance publique en Chine est totalement différent de celui de l’Occident. Les progrès réalisés ici dans le domaine de la gouvernance publique sont considérés par les peuples comme une avancée de la démocratie. Ils croient que le meilleur modèle de gouvernance est celui où les dirigeants sont ouverts d'esprit, courtois et capables d'écouter les différentes opinions.
Tandis que ces revendications sont mal comprises pour le camp d'en face. Quels que soient les efforts déployés par le gouvernement chinois pour répondre aux attentes du peuple, la version chinoise de la démocratie ne signifie pas grand-chose pour la partie adverse, poursuit-il.
Mais en occident, le modèle démocratique est en difficulté de nos jours, a renchéri le Pr Ding Yifan. Ce modèle engendre beaucoup de problèmes qu'il n'en procure, en ce sens que l’économie des pays occidentaux est en récession, suivie par le réveil des pays africains, et que la montée du sud global rend l’ancien modèle d’exploitation des ressources des pays du sud par l’Occident impraticable.
Il convient de rappeler que depuis un certain temps, les dirigeants chinois rétorquent l’accusation sur l’autoritarisme chinois, par la qualification du système chinois de démocratie du processus total. Le Pr Ding Yifan, est diplômé de l'Institut des langues étrangère de Pékin. Il avait poursuivi ses études à l'Institut d'études politiques de Bordeaux et a fait son doctorat en sciences politiques à la faculté de droit, à l'Université de Bordeaux en France.