Organisé par le Cluster Éducation, cet atelier de deux jours vise à identifier les besoins éducatifs des enfants dans les sites et camps de réfugiés et de retour, afin de fournir des réponses appropriées. Réunissant plus d'une trentaine de participants, principalement des partenaires du Cluster Éducation, cette rencontre a été animée par une spécialiste du genre et de la VBG du Global Cluster venue de Genève.
Parmi les points forts de cet atelier de formation, on trouve des présentations sur le concept de VBG et le genre, une approche transformative du genre, des travaux de groupe et des restitutions en séance plénière.
Les travaux de groupe ont révélé que les groupes les plus exposés aux risques de VBG dans le domaine de l'éducation sont les adolescentes, les mères adolescentes, les filles enceintes, les filles qui allaitent et les enfants en situation de handicap. Les enfants non accompagnés constituent également une tranche d'âge à risque.
Les crises telles que les conflits armés, les inondations, les épidémies comme la COVID, etc., sont susceptibles de compromettre l'accès à l'éducation pour ces enfants. Les risques auxquels ces enfants en situation de crise sont exposés comprennent le viol, l'enlèvement et les mariages forcés en raison de la pauvreté des parents.
Le manque d'infrastructures scolaires, l'éloignement des écoles dans les villages, le manque d'installations sanitaires dans les établissements scolaires pour permettre aux adolescentes de gérer leurs menstruations, ainsi que le manque de garderies pour les mères adolescentes dans les structures scolaires, sont autant d'obstacles susceptibles d'empêcher les filles de terminer leur scolarité.
Parmi les solutions proposées pour maintenir les filles à l'école, il est nécessaire de construire des écoles à proximité des villages, de recruter et de former des enseignantes et des enseignants communautaires, de séparer les installations de douche pour les filles et les garçons dans les établissements scolaires, de créer des garderies pour permettre aux mères adolescentes de se concentrer sur leurs études, et de former les adolescentes à la santé sexuelle et reproductive ainsi qu'à la gestion de l'hygiène menstruelle.
Parmi les points forts de cet atelier de formation, on trouve des présentations sur le concept de VBG et le genre, une approche transformative du genre, des travaux de groupe et des restitutions en séance plénière.
Les travaux de groupe ont révélé que les groupes les plus exposés aux risques de VBG dans le domaine de l'éducation sont les adolescentes, les mères adolescentes, les filles enceintes, les filles qui allaitent et les enfants en situation de handicap. Les enfants non accompagnés constituent également une tranche d'âge à risque.
Les crises telles que les conflits armés, les inondations, les épidémies comme la COVID, etc., sont susceptibles de compromettre l'accès à l'éducation pour ces enfants. Les risques auxquels ces enfants en situation de crise sont exposés comprennent le viol, l'enlèvement et les mariages forcés en raison de la pauvreté des parents.
Le manque d'infrastructures scolaires, l'éloignement des écoles dans les villages, le manque d'installations sanitaires dans les établissements scolaires pour permettre aux adolescentes de gérer leurs menstruations, ainsi que le manque de garderies pour les mères adolescentes dans les structures scolaires, sont autant d'obstacles susceptibles d'empêcher les filles de terminer leur scolarité.
Parmi les solutions proposées pour maintenir les filles à l'école, il est nécessaire de construire des écoles à proximité des villages, de recruter et de former des enseignantes et des enseignants communautaires, de séparer les installations de douche pour les filles et les garçons dans les établissements scolaires, de créer des garderies pour permettre aux mères adolescentes de se concentrer sur leurs études, et de former les adolescentes à la santé sexuelle et reproductive ainsi qu'à la gestion de l'hygiène menstruelle.