Sassou et Bouteflika (photo Huftpost Algérie)
Le président algérien, Abdelaziz Bouteflika recevra le président congolais, Denis Sassou N'Guesso dans le cadre d’une visite d'Etat qu’il effectue en Algérie du 27 au 30 mars 2017. Cette visite s'inscrit dans le cadre du renforcement des liens historiques d'amitié et de fraternité entre les deux pays et "permettra aux deux parties de passer en revue leur coopération bilatérale et d'identifier les voies et moyens de la dynamiser et de l'adapter au bénéfice mutuel des deux peuples frères".
De sources officielles, cette visite sera marquée par la signature de plusieurs accords économiques qui n’ont pas encore été dévoilés. En effet, les ministres algérien et congolais des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra et Jean Claude Gakosso ont co-présidé le dimanche 26 mars, l’ouverture de la Grande commission mixte algéro-congolaise qui a ressorti au moins 14 projets d’accords dans différents secteurs et identifié une douzaine d’autres accords nécessitant un travail complémentaire », selon l’agence officielle APS cité par jeune Afrique.
Pour Jean Claude Gakosso, cité par la même source, la signature de plusieurs accords devant les deux chefs d’État constituera « un tournant dans l’histoire commune des deux pays et qui sera bientôt soutenu par l’accord relatif à l’exemption de visas pour les ressortissants des deux pays détenteurs du passeport diplomatique ».
La Libye au cœur des échanges
Les entretiens entre Bouteflika et Denis Sassou N’Guesso porteront aussi sur les questions régionales et internationales d'intérêt commun, notamment les défis auxquels font face les pays africains pour garantir la paix, la sécurité et la stabilité à travers le continent, ainsi que son développement économique et social », selon un communiqué de la présidence algérienne cité par le site huffpostmaghreb.com.
Allusion faite, notamment au dialogue sur la question libyenne, quand on sait le président congolais préside le comité de haut niveau de l’Union Africaine sur la Libye.
En visite à Alger du 11 au 13 février dernier, le ministre congolais des affaires étrangères, rappelait à la presse : « Brazzaville avait organisé le réunis le 27 janvier 2017 un sommet sur le comité de haut niveau sur la Libye avec le soutien de l’Algérie. Nous savons que l’Algérie a beaucoup fait, elle a reçu ici les principaux protagonistes de cette crise libyenne, tous les représentants des forces en présence. Nous avons besoin de l’expertise algérienne pour aller plus loin dans ce dossier, dont le président de la république Denis Sassou N’Guesso a aujourd’hui une part de responsabilité... »
D’ailleurs, dans ce cadre de rôle combien difficile dans la crise libyenne, le chef de l’Etat congolais a rencontré le 23 mars dernier, à Abu Dhabi, aux Emirats Arabes Unis, le maréchal Khalifa Haftar, l’un des hommes clés de cette crise.
De sources officielles, cette visite sera marquée par la signature de plusieurs accords économiques qui n’ont pas encore été dévoilés. En effet, les ministres algérien et congolais des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra et Jean Claude Gakosso ont co-présidé le dimanche 26 mars, l’ouverture de la Grande commission mixte algéro-congolaise qui a ressorti au moins 14 projets d’accords dans différents secteurs et identifié une douzaine d’autres accords nécessitant un travail complémentaire », selon l’agence officielle APS cité par jeune Afrique.
Pour Jean Claude Gakosso, cité par la même source, la signature de plusieurs accords devant les deux chefs d’État constituera « un tournant dans l’histoire commune des deux pays et qui sera bientôt soutenu par l’accord relatif à l’exemption de visas pour les ressortissants des deux pays détenteurs du passeport diplomatique ».
La Libye au cœur des échanges
Les entretiens entre Bouteflika et Denis Sassou N’Guesso porteront aussi sur les questions régionales et internationales d'intérêt commun, notamment les défis auxquels font face les pays africains pour garantir la paix, la sécurité et la stabilité à travers le continent, ainsi que son développement économique et social », selon un communiqué de la présidence algérienne cité par le site huffpostmaghreb.com.
Allusion faite, notamment au dialogue sur la question libyenne, quand on sait le président congolais préside le comité de haut niveau de l’Union Africaine sur la Libye.
En visite à Alger du 11 au 13 février dernier, le ministre congolais des affaires étrangères, rappelait à la presse : « Brazzaville avait organisé le réunis le 27 janvier 2017 un sommet sur le comité de haut niveau sur la Libye avec le soutien de l’Algérie. Nous savons que l’Algérie a beaucoup fait, elle a reçu ici les principaux protagonistes de cette crise libyenne, tous les représentants des forces en présence. Nous avons besoin de l’expertise algérienne pour aller plus loin dans ce dossier, dont le président de la république Denis Sassou N’Guesso a aujourd’hui une part de responsabilité... »
D’ailleurs, dans ce cadre de rôle combien difficile dans la crise libyenne, le chef de l’Etat congolais a rencontré le 23 mars dernier, à Abu Dhabi, aux Emirats Arabes Unis, le maréchal Khalifa Haftar, l’un des hommes clés de cette crise.