Promouvoir des sociétés pacifiques et inclusives, en faisant de l’éducation de qualité une réalité pour tous. Tel est l’objectif poursuivi par l’Ong internationale Suisse, Graines de paix, qui a initiée une exposition en la résidence de l’ambassadeur dudit pays, à Abidjan-Cocody.
Dénommée : « Ni hérisson, Ni paillasson », cette exposition didactique et expérientielle vise d’une part, à « susciter la réflexion des élèves sur les attitudes et comportements courants dans la vie quotidienne, qui provoquent, facilitent ou aggravent la violence ». Et d’autre part, à « valoriser le développement de leurs compétences psychosociales, grâce aux échanges et interaction de groupe autour de l’exposition », a relevé Oumar Baldet, directeur des programmes de Graines de paix.
Il a également souligné que cet événement était une occasion de faire entre autre, un plaidoyer pour sensibiliser sur les enjeux éducatifs et sociétaux de l’Education à la culture de la paix (Ecp).
Ainsi, il y avait à cette exposition, une collection de guides pédagogiques et de livrets dénommée « Grandir en paix », à destination des enseignants, leur permettant de travailler en salle de classe toute l’année, sur les notions du vivre-ensemble avec leurs élèves.
Oumar Baldet a signifié que depuis 2012, l’Ong a mis en œuvre un programme national de formation continue des enseignants du préscolaire et du primaire aux postures pratiques et pédagogies de l’éducation à la culture de la paix.
« Ce programme qui se déroule en étroite collaboration avec le ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle est fondé sur une approche méthodologique privilégiant la permanente co-construction avec les acteurs en vue de mettre en place des solutions simples, pratiques et adaptées au milieu », a-t-il indiqué.
Avant d’annoncer que le programme a formé 300 formateurs, qui à leur tour ont formé plus de 22000 enseignants, avec le soutien constant de la Fondation Smartpeace basée à Zurich (Suisse). Non sans ajouter que Graines de paix a aussi travaillé dans le cadre de la réforme de la formation initiale, en contribuant à ancrer les innovations pédagogiques consolidées lors des formations continues dans le nouveau plan de formation initiale des instituteurs de Côte d’Ivoire.
Le directeur des programmes de Graines de paix a assuré poursuivre dans cette continuité au sein de l’école ivoirienne et de son élargissement à plusieurs pays de la sous-région ouest-africaine, en vue d’une paix durable à l’horizon.
Pour l’ambassadeur de Suisse en Côte d’Ivoire, SEM Thomas Litscher, l’Ong Graines de paix contribue à la promotion de la sécurité humaine. Il a exprimé sa reconnaissance à tous ceux qui œuvrent au quotidien pour la paix dans le monde.
La directrice des écoles, lycées et collèges, Beugré Yao Gnamien, l’Ong s’est pour sa part, félicitée de la l’apport de l’Ong Graines de paix à l’école ivoirienne, pour sa bonne marche. Elle a traduit toute la reconnaissance de la grande famille de l’Education nationale, ainsi que celle de la ministre Kandia Camara à l’Ong.
Annonçant que ce sont au total 300 000 enfants qui ont bénéficié jusque-là de l’Ecp, Beugré Yao Gnamien, a indiqué que ce partenariat avec Graines de paix constitue un atout pour l’amélioration d’un climat de paix à l’école.
Dénommée : « Ni hérisson, Ni paillasson », cette exposition didactique et expérientielle vise d’une part, à « susciter la réflexion des élèves sur les attitudes et comportements courants dans la vie quotidienne, qui provoquent, facilitent ou aggravent la violence ». Et d’autre part, à « valoriser le développement de leurs compétences psychosociales, grâce aux échanges et interaction de groupe autour de l’exposition », a relevé Oumar Baldet, directeur des programmes de Graines de paix.
Il a également souligné que cet événement était une occasion de faire entre autre, un plaidoyer pour sensibiliser sur les enjeux éducatifs et sociétaux de l’Education à la culture de la paix (Ecp).
Ainsi, il y avait à cette exposition, une collection de guides pédagogiques et de livrets dénommée « Grandir en paix », à destination des enseignants, leur permettant de travailler en salle de classe toute l’année, sur les notions du vivre-ensemble avec leurs élèves.
Oumar Baldet a signifié que depuis 2012, l’Ong a mis en œuvre un programme national de formation continue des enseignants du préscolaire et du primaire aux postures pratiques et pédagogies de l’éducation à la culture de la paix.
« Ce programme qui se déroule en étroite collaboration avec le ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle est fondé sur une approche méthodologique privilégiant la permanente co-construction avec les acteurs en vue de mettre en place des solutions simples, pratiques et adaptées au milieu », a-t-il indiqué.
Avant d’annoncer que le programme a formé 300 formateurs, qui à leur tour ont formé plus de 22000 enseignants, avec le soutien constant de la Fondation Smartpeace basée à Zurich (Suisse). Non sans ajouter que Graines de paix a aussi travaillé dans le cadre de la réforme de la formation initiale, en contribuant à ancrer les innovations pédagogiques consolidées lors des formations continues dans le nouveau plan de formation initiale des instituteurs de Côte d’Ivoire.
Le directeur des programmes de Graines de paix a assuré poursuivre dans cette continuité au sein de l’école ivoirienne et de son élargissement à plusieurs pays de la sous-région ouest-africaine, en vue d’une paix durable à l’horizon.
Pour l’ambassadeur de Suisse en Côte d’Ivoire, SEM Thomas Litscher, l’Ong Graines de paix contribue à la promotion de la sécurité humaine. Il a exprimé sa reconnaissance à tous ceux qui œuvrent au quotidien pour la paix dans le monde.
La directrice des écoles, lycées et collèges, Beugré Yao Gnamien, l’Ong s’est pour sa part, félicitée de la l’apport de l’Ong Graines de paix à l’école ivoirienne, pour sa bonne marche. Elle a traduit toute la reconnaissance de la grande famille de l’Education nationale, ainsi que celle de la ministre Kandia Camara à l’Ong.
Annonçant que ce sont au total 300 000 enfants qui ont bénéficié jusque-là de l’Ecp, Beugré Yao Gnamien, a indiqué que ce partenariat avec Graines de paix constitue un atout pour l’amélioration d’un climat de paix à l’école.