Actualiser les connaissances sur les ressources forestières et fauniques de la Côte d’Ivoire. Renforcer les compétences techniques des agents de l’administration, ainsi que celles des opérateurs techniques, en matière de méthode d’inventaire sur le terrain et de collecte de données.
Tels sont les objectifs assignés à l’opération d’Inventaire forestier et faunique de la Côte d’Ivoire (IFFN), qui a démarrée depuis le 4 janvier 2019.
L’IFFN va permettre d’obtenir des informations précises entre autres, sur le type de forêts existantes (composition et surface), les espèces fauniques existantes et leurs densités. Ensuite, l’évolution dans le temps des données forestières et fauniques. De même que les données par région visitée.
Ladite opération couvre l’ensemble du territoire forestier et rural du pays. C'est-à-dire : 31 régions et 108 départements. Elle va durer 2 à 3 ans et se décline en 3 étapes. A savoir, la préparation du travail d’inventaire (presque achevé), la réalisation de l’inventaire, puis le traitement des données et publication des résultats.
La réalisation des inventaires sur le terrain est effectuée par trois structures techniques. Notamment, la Société de développement des forêts (SODEFOR), pour les ressources forestières, l’Office ivoirien des parcs et réserves (OIPR), pour ce qui est des espèces fauniques. Puis, l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER), pour le volet socio-économique.
En tout, 150 personnes réparties en 31 équipes, dont 14 équipes chacune pour la SODEFOR et Anader et 3 équipes pour l’OIPR, avec 24 véhicules à leur disposition comme moyens logistiques.
Selon des experts, l’inventaire national ne dégrade ni la faune, ni la flore se trouvant sur la parcelle. Encore moins, ne cherche pas à savoir, si les ruraux sont propriétaires ou non de la parcelle sur laquelle, ils résident ou qu’ils exploitent.
Tels sont les objectifs assignés à l’opération d’Inventaire forestier et faunique de la Côte d’Ivoire (IFFN), qui a démarrée depuis le 4 janvier 2019.
L’IFFN va permettre d’obtenir des informations précises entre autres, sur le type de forêts existantes (composition et surface), les espèces fauniques existantes et leurs densités. Ensuite, l’évolution dans le temps des données forestières et fauniques. De même que les données par région visitée.
Ladite opération couvre l’ensemble du territoire forestier et rural du pays. C'est-à-dire : 31 régions et 108 départements. Elle va durer 2 à 3 ans et se décline en 3 étapes. A savoir, la préparation du travail d’inventaire (presque achevé), la réalisation de l’inventaire, puis le traitement des données et publication des résultats.
La réalisation des inventaires sur le terrain est effectuée par trois structures techniques. Notamment, la Société de développement des forêts (SODEFOR), pour les ressources forestières, l’Office ivoirien des parcs et réserves (OIPR), pour ce qui est des espèces fauniques. Puis, l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER), pour le volet socio-économique.
En tout, 150 personnes réparties en 31 équipes, dont 14 équipes chacune pour la SODEFOR et Anader et 3 équipes pour l’OIPR, avec 24 véhicules à leur disposition comme moyens logistiques.
Selon des experts, l’inventaire national ne dégrade ni la faune, ni la flore se trouvant sur la parcelle. Encore moins, ne cherche pas à savoir, si les ruraux sont propriétaires ou non de la parcelle sur laquelle, ils résident ou qu’ils exploitent.