« J'annonce ici et maintenant que je mets fin à mon exil car il m'est pénible de vivre loin de ma terre ancestrale et natale d'Afrique », a-t-il indiqué sans préciser la date de son retour au pays.
Dans cette vidéo de cinq minutes, Guillaume Soro, 51 ans, a affirmé qu'on a « tenté de (l') arrêter » à l'aéroport d'Istanbul le 3 novembre afin de l'extrader en Côte d'Ivoire mais assure se porter « très bien ».
Il a par ailleurs accusé le président ivoirien Alassane Ouattara d'avoir « entrepris de déclencher une féroce chasse internationale à l'homme », à son encontre.
« Je n'irai pas plus loin dans mon exil, je refuse d'être fugitif. Je ne suis coupable d'aucun forfait », a-t-il poursuivi tout en affirmant vouloir « contribuer à la réconciliation des fils et des filles » de la Côte d'Ivoire.
Dans cette vidéo de cinq minutes, Guillaume Soro, 51 ans, a affirmé qu'on a « tenté de (l') arrêter » à l'aéroport d'Istanbul le 3 novembre afin de l'extrader en Côte d'Ivoire mais assure se porter « très bien ».
Il a par ailleurs accusé le président ivoirien Alassane Ouattara d'avoir « entrepris de déclencher une féroce chasse internationale à l'homme », à son encontre.
« Je n'irai pas plus loin dans mon exil, je refuse d'être fugitif. Je ne suis coupable d'aucun forfait », a-t-il poursuivi tout en affirmant vouloir « contribuer à la réconciliation des fils et des filles » de la Côte d'Ivoire.