L’ancien Président de la République de Côte d’Ivoire Laurent Gbagbo, rentré au pays le 17 juin dernier, après son acquittement par la Cour pénale internationale (Cpi) de crimes contre l'humanité, ne pourra pas se rendre dans les maisons d’arrêt ivoiriennes, pour apporter son soutien et sa compassion à ses camarades de lutte, encore emprisonnés.
En effet, sa demande formulée en vue d’obtenir une autorisation a été rejetée, par le gouvernement ivoirien, qui aurait évoqué des mesures sécuritaires, à en croire Assoa Adou, Secrétaire Général du Fpi pro Gbagbo.
Dans une déclaration produite à cet effet ce 14 juillet 2021, Assoa Adou indique que l’argument développé par le Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’Homme est infondé. Il a relevé que le refus du gouvernement est une violation flagrante des droits reconnus aux prisonniers.
En effet, sa demande formulée en vue d’obtenir une autorisation a été rejetée, par le gouvernement ivoirien, qui aurait évoqué des mesures sécuritaires, à en croire Assoa Adou, Secrétaire Général du Fpi pro Gbagbo.
Dans une déclaration produite à cet effet ce 14 juillet 2021, Assoa Adou indique que l’argument développé par le Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’Homme est infondé. Il a relevé que le refus du gouvernement est une violation flagrante des droits reconnus aux prisonniers.