Pendah Sangaré (à droite) a exprimé dès sa sortie de prison, toute sa gratitude au PCA de l’Acat-CI (à sa gauche)
L’Action des chrétiens pour l’abolition de la torture, section Côte d’Ivoire (ACAT-CI), via le projet : « Améliorer les conditions de détention dans 10 Maisons d’arrêt et de correction de Côte d’Ivoire », initié depuis 2017 sur financement de l’Union Européenne (Ue), a obtenu la libération d’une prisonnière, dont le cas est jugé « irresponsable ».
Détenue à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca) depuis près de quatre ans, pour « coups et blessures volontaires », requalifiés en « tentative d’assassinat », Pendah Sangaré, ressortissante malienne, 30 ans révolus et mère d’une fille de 3 ans née au moment de la détention, a recouvré la liberté totale depuis le 9 juillet 2019.
Le rapport d’expertise psychiatrique diligenté par un cabinet d’instruction du tribunal d’Abidjan l’ayant déclaré « irresponsable », du fait d’un état de trouble psychiatrique lors de son agissement, l’Acat-CI de par ses actions lui a permis d’être libre et de mener dès à présent une vie normale.
L’Ong chrétienne, avec à sa tête son PCA, Assohou Wenceslas a entrepris des démarches auprès du consulat de la République du Mali en Côte d’Ivoire, qui a bien voulu la recueillir, puis la placer dans une famille d’accueil et affecter un spécialiste pour les soins adéquats.
Ce projet de l’Acat-CI sus-indiqué couvrant 10 Maisons d’arrêt et de correction du pays (Abidjan, Adzopé, Agboville, Toumodi, Daloa, Abengourou, Sassandra, Soubré, Bouaké, et Grand-Bassam), permet de relever les cas de détention préventive de longue durée, qu’elle traite par le biais de ses avocats référents.
Détenue à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca) depuis près de quatre ans, pour « coups et blessures volontaires », requalifiés en « tentative d’assassinat », Pendah Sangaré, ressortissante malienne, 30 ans révolus et mère d’une fille de 3 ans née au moment de la détention, a recouvré la liberté totale depuis le 9 juillet 2019.
Le rapport d’expertise psychiatrique diligenté par un cabinet d’instruction du tribunal d’Abidjan l’ayant déclaré « irresponsable », du fait d’un état de trouble psychiatrique lors de son agissement, l’Acat-CI de par ses actions lui a permis d’être libre et de mener dès à présent une vie normale.
L’Ong chrétienne, avec à sa tête son PCA, Assohou Wenceslas a entrepris des démarches auprès du consulat de la République du Mali en Côte d’Ivoire, qui a bien voulu la recueillir, puis la placer dans une famille d’accueil et affecter un spécialiste pour les soins adéquats.
Ce projet de l’Acat-CI sus-indiqué couvrant 10 Maisons d’arrêt et de correction du pays (Abidjan, Adzopé, Agboville, Toumodi, Daloa, Abengourou, Sassandra, Soubré, Bouaké, et Grand-Bassam), permet de relever les cas de détention préventive de longue durée, qu’elle traite par le biais de ses avocats référents.