Le ministre Mamadou Sangafowa Coulibaly a expliqué que cette hausse des prix est due au fait que depuis le début de l’année 2023, le cours du pétrole brut soit resté élevé à cause de la guerre en Ukraine, et de la décision des pays membres de l’OPEP+, dont l’Arabie-Saoudite et la Russie, de réduire leurs productions et exportations de pétrole brut à partir de juillet 2023 et à la réduction des stocks de réserves de certains pays.
"A fin juin 2023, le prix du Baril de Brent était de 73 USD. Il a atteint 86 USD à fin juillet 2023 et a franchi la barre de 97 USD à fin septembre 2023, soit une hausse de 24 USD le baril en l’espace de seulement deux mois", a-t-il justifié.
Et de relever que "rien que pour le mois d’octobre 2023, c’est un effort de 13 milliards FCFA que l’État consentira pour maintenir ces niveaux de prix indiqués, soit un
effort cumulé à fin octobre 2023 de 68 milliards FCFA".
Il a rappelé que sur l’année 2022, les efforts consentis par l’État pour maintenir les prix à la pompe à leurs niveaux actuels à fin septembre, se sont chiffrés à 726 milliards de FCFA.
Quant au ministre Amadou Koné, il a assuré qu'après des échanges avec les acteurs du secteur des transports, les prix des transports vont être maintenus à leurs niveaux actuels. Selon lui, des mesures d'accompagnement ont été prises par le gouvernement pour atténuer les effets de ce réajustement des coûts du carburant pour les transporteurs.
Il s'agit, notamment, de l’application stricte du décret relatif aux contraventions, aux amendes qui en découlent et à la supression de la perception de l’amende de 22 500 FCFA, et du respect des 33 barrages de contrôles routiers règlementaires. L'on note aussi la prise d’un acte pour règlementer le remorquage des véhicules et la prise d’un arrêté interministériel instaurant un cadre permanent de concertation, dans l’attente de la tenue des états généraux du Transport routier. Amadou Koné a soutenu que le 1302 sera activé pour dénoncer les augmentations qui seront constatées et la sensibilisation se poursuivra.
De son côté, le ministre Souleymane Diarrassouba a indiqué qu'il a eu des échanges avec les associations et fédérations de consommateurs, de commerçants et d'industriels, de sorte qu'il n'y ait pas de hausse des prix des produits de grande consommation.
"Nous serons très vigilants sur le suivi des prix des denrées de première nécessité. Nous allons intensifier la surveillance des marchés, à travers la Brigade de Contrôle rapide (BCR) et les 31 directions régionales et veiller au respect de l'affiche des prix des produits plafonnés", a-t-il affirmé.
Il a également appelé "la population à utiliser la ligne verte 1343 et l'applicatif "contrôle citoyen" en cas de non-respect des prix plafonnés".
Les trois émissaires du gouvernement ont invité les transporteurs, commerçants et industriels à se conformer à ces mesures et à éviter toute augmentation de prix.
"A fin juin 2023, le prix du Baril de Brent était de 73 USD. Il a atteint 86 USD à fin juillet 2023 et a franchi la barre de 97 USD à fin septembre 2023, soit une hausse de 24 USD le baril en l’espace de seulement deux mois", a-t-il justifié.
Et de relever que "rien que pour le mois d’octobre 2023, c’est un effort de 13 milliards FCFA que l’État consentira pour maintenir ces niveaux de prix indiqués, soit un
effort cumulé à fin octobre 2023 de 68 milliards FCFA".
Il a rappelé que sur l’année 2022, les efforts consentis par l’État pour maintenir les prix à la pompe à leurs niveaux actuels à fin septembre, se sont chiffrés à 726 milliards de FCFA.
Quant au ministre Amadou Koné, il a assuré qu'après des échanges avec les acteurs du secteur des transports, les prix des transports vont être maintenus à leurs niveaux actuels. Selon lui, des mesures d'accompagnement ont été prises par le gouvernement pour atténuer les effets de ce réajustement des coûts du carburant pour les transporteurs.
Il s'agit, notamment, de l’application stricte du décret relatif aux contraventions, aux amendes qui en découlent et à la supression de la perception de l’amende de 22 500 FCFA, et du respect des 33 barrages de contrôles routiers règlementaires. L'on note aussi la prise d’un acte pour règlementer le remorquage des véhicules et la prise d’un arrêté interministériel instaurant un cadre permanent de concertation, dans l’attente de la tenue des états généraux du Transport routier. Amadou Koné a soutenu que le 1302 sera activé pour dénoncer les augmentations qui seront constatées et la sensibilisation se poursuivra.
De son côté, le ministre Souleymane Diarrassouba a indiqué qu'il a eu des échanges avec les associations et fédérations de consommateurs, de commerçants et d'industriels, de sorte qu'il n'y ait pas de hausse des prix des produits de grande consommation.
"Nous serons très vigilants sur le suivi des prix des denrées de première nécessité. Nous allons intensifier la surveillance des marchés, à travers la Brigade de Contrôle rapide (BCR) et les 31 directions régionales et veiller au respect de l'affiche des prix des produits plafonnés", a-t-il affirmé.
Il a également appelé "la population à utiliser la ligne verte 1343 et l'applicatif "contrôle citoyen" en cas de non-respect des prix plafonnés".
Les trois émissaires du gouvernement ont invité les transporteurs, commerçants et industriels à se conformer à ces mesures et à éviter toute augmentation de prix.