Crans-Montana porte l'estocade aux algéro-polisariens
L'annonce en a été faite le 17 février 2015 et elle tombe comme un couperet pour les dirigeants algéro-polisariens : Crans-Montana a décidé de la création du "Club de l'Afrique Atlantique".
Ce Club sera lancé le 12 mars 2015 à Dakhla lors du 30ème Forum de Crans-Montana et aura pour objectif de consolider le développement et l'intégration régionale.
Composé de décideurs du monde des affaires, de la politique et des gouvernements des Etats africains de la façade Atlantique fortement engagés en faveur de l'Afrique, ce Club s'attèlera essentiellement à assurer l'essor économique et social des pays africains et à instaurer des passerelles opportunes de coopération régionale de la côte Atlantique de ce continent afin de garantir la réussite de son intégration dans une économie mondiale.
Ce nouveau Club africain tiendra ses réunions annuellement dans un premier temps au Maroc puis dans d'autres pays en Afrique ou à l'Etranger.
Il est évident que l'Algérie en est automatiquement exclue puisque ne possédant pas de façade Atlantique. Une Initiative qui enrage les dirigeants algériens et met à néant ses ambitions démesurées de leader de l'Afrique et brise à jamais son rêve d'un accès sur l'Océan Atlantique via un Etat fantoche à sa botte.
Une belle estocade portée par les dirigeants du Forum Crans-Montana aux dirigeants algéro-polisariens.
Une Algérie où les dirigeants ne sont pas crédibles, où la visibilité politique est nulle, où la situation sociale est explosive, où les terroristes font la loi, où l'économie est chancelante en raison de sa totale dépendance aux hydrocarbures, où aucune garantie n'est donnée aux potentiels investisseurs étrangers et où les infrastructures de base sont obsolètes ou inexistantes ne peut en aucun cas prétendre à un quelconque leadership. Triste perspective pour ce pays qui a bénéficié pendant plus de cinq décennies d'une richesse inestimable mais non pérenne en hydrocarbures.
Un pays qui a bâti sa réputation sur toc et qui finalement se révèle être un "dragon aux pieds d'argile" !
Farid Mnebhi.
L'annonce en a été faite le 17 février 2015 et elle tombe comme un couperet pour les dirigeants algéro-polisariens : Crans-Montana a décidé de la création du "Club de l'Afrique Atlantique".
Ce Club sera lancé le 12 mars 2015 à Dakhla lors du 30ème Forum de Crans-Montana et aura pour objectif de consolider le développement et l'intégration régionale.
Composé de décideurs du monde des affaires, de la politique et des gouvernements des Etats africains de la façade Atlantique fortement engagés en faveur de l'Afrique, ce Club s'attèlera essentiellement à assurer l'essor économique et social des pays africains et à instaurer des passerelles opportunes de coopération régionale de la côte Atlantique de ce continent afin de garantir la réussite de son intégration dans une économie mondiale.
Ce nouveau Club africain tiendra ses réunions annuellement dans un premier temps au Maroc puis dans d'autres pays en Afrique ou à l'Etranger.
Il est évident que l'Algérie en est automatiquement exclue puisque ne possédant pas de façade Atlantique. Une Initiative qui enrage les dirigeants algériens et met à néant ses ambitions démesurées de leader de l'Afrique et brise à jamais son rêve d'un accès sur l'Océan Atlantique via un Etat fantoche à sa botte.
Une belle estocade portée par les dirigeants du Forum Crans-Montana aux dirigeants algéro-polisariens.
Une Algérie où les dirigeants ne sont pas crédibles, où la visibilité politique est nulle, où la situation sociale est explosive, où les terroristes font la loi, où l'économie est chancelante en raison de sa totale dépendance aux hydrocarbures, où aucune garantie n'est donnée aux potentiels investisseurs étrangers et où les infrastructures de base sont obsolètes ou inexistantes ne peut en aucun cas prétendre à un quelconque leadership. Triste perspective pour ce pays qui a bénéficié pendant plus de cinq décennies d'une richesse inestimable mais non pérenne en hydrocarbures.
Un pays qui a bâti sa réputation sur toc et qui finalement se révèle être un "dragon aux pieds d'argile" !
Farid Mnebhi.