Premièrement, la CEDEAO a accordé une période de 7 jours pour rétablir l'ordre constitutionnel et mettre fin à la prise d'otage du président Mohamed Bazoum. Si ces conditions ne sont pas remplies dans le délai imparti, la CEDEAO se réserve le droit d'intervenir immédiatement, y compris par la force, afin de rétablir la démocratie et ramener la stabilité au Niger.
En outre, en réponse à la situation de crise, la CEDEAO a décidé de mettre en place des sanctions très fermes, notamment des mesures économiques, pour faire pression sur les acteurs impliqués dans le coup d'État et ceux qui soutiennent cette action illégitime.
Par ailleurs, une réunion des chefs d'état-major a été convoquée par la CEDEAO pour envisager une option militaire dans le but de restaurer l'ordre constitutionnel et de mettre fin à la prise d'otage du président nigérien.
Dans le cadre de la médiation pour résoudre la crise, le président de transition du Tchad, Mahamat Idriss Deby, a été désigné comme médiateur par la CEDEAO. Il se rendra prochainement à Niamey pour rencontrer les putschistes et tenter de trouver une issue pacifique à la situation.
En outre, en réponse à la situation de crise, la CEDEAO a décidé de mettre en place des sanctions très fermes, notamment des mesures économiques, pour faire pression sur les acteurs impliqués dans le coup d'État et ceux qui soutiennent cette action illégitime.
Par ailleurs, une réunion des chefs d'état-major a été convoquée par la CEDEAO pour envisager une option militaire dans le but de restaurer l'ordre constitutionnel et de mettre fin à la prise d'otage du président nigérien.
Dans le cadre de la médiation pour résoudre la crise, le président de transition du Tchad, Mahamat Idriss Deby, a été désigné comme médiateur par la CEDEAO. Il se rendra prochainement à Niamey pour rencontrer les putschistes et tenter de trouver une issue pacifique à la situation.