Comme annoncé, les habitants de Dakhla, "La Perle des Vents" , ont accueilli, le 12 mars 2015, avec fierté, ferveur, joie et dans la plus pure tradition locale ses invités venus de tous les horizons de la planète pour participer à la 30ème session annuelle du "Crans-Montana Forum" placée sous le thème de "l'Afrique et la coopération Sud-Sud".
Près de 112 Etats sont représentés à un niveau élevé (36 d'Afrique, 30 d'Asie, 31 d'Europe et 15 d'Amérique) en plus d'environ 20 organisations régionales et internationales soit un total de 800 personnes dont une centaine de Chefs d'Etat, de Chefs de Gouvernement, de Ministres, de Présidents de Parlement et de parlementaires.
S’y ajoutent des anciens Chefs d'Etat et de Gouvernement, des hauts responsables internationaux et des représentants de structures régionales et internationales.
C'est ainsi que sont présents à ce rendez-vous planétaire, placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Prince du Grand Duché du Luxembourg, le Secrétaire Général adjoint de l'ONU, Philippe Douste Blazi, le Président de Macédoine, Gjorge Ivanov, les Premiers Ministres guinéen, des Iles Salomon, des Iles de la Dominique,les Ministres des Affaires Etrangères du Benin, des Comores, du Niger, du Togo, du Ministre égyptien de l'Information, du Président de la Cour Suprême du Tchad, du Président du Conseil Economique et Social sénégalais, d'un Conseiller Spécial du Président Kenyan, des anciens Chefs d'Etat d'Albanie, du Chili, Ricardo Lagos, d'Uruguay, Hugo Mendez,, de Croatie, Stéphane Misic, des anciens Premiers Ministres espagnol, José Luis Rodrigues Zapatero, Malien, des anciens Ministres des Affaires Etrangères du Kenya, du Burkina Faso, de l'ancien vice-Président de l'Assemblée Constituante tunisienne, Abid Larbi, de l'ancien Ministre des Finances mauritanien, Kane Ousmane, ainsi que bien d'autres personnalités et représentants de la société civile et de la presse internationale.
Aujourd'hui, tous les regards sont tournés vers cette ville du Sud du Sahara marocain qui fait la une de la presse nationale et internationale, tant écrite qu'audio et télévisuelle mais aussi de la presse en ligne et des réseaux sociaux.
Un succès unique dans les 30 ans d'histoire du Forum Crans-Montana qu'ont tenu à souligner les dirigeants de cette organisation internationale basée à Genève.
Aussi, le 13 mars 2015, jour de l'ouverture officielle de la session du Crans-Montana Forum, fut marqué par un message du Roi du Maroc lu par le Chef du Gouvernement marocain qui peut se résumer comme suit :
1/ le Souverain marocain, a, tout d'abord, souhaité aux participants la bienvenue au Maroc et notamment à Dakhla, Perle du Sud du Royaume du Maroc et les a félicités pour leur choix pertinent de la thématique centrale de ce forum.
2/ le Chef de l'Etat marocain a, par la suite, rendu un vibrant hommage à Monsieur Jean Paul Carteron suite à son implication au service de nobles causes à travers le dialogue et le partage.
3/ le Souverain marocain a souligné que la ville de Dakhla est appelée, dans ce cadre, à avoir une position centrale dans le futur hub économique africain qui sera dédié au service de la paix et de la stabilité dans la région subsaharienne.
4/ le Roi du Maroc a, dans ce sens, fait savoir qu'à travers ce nouveau modèle, qui procède d'une vision politique ambitieuse à la faveur d'une nouvelle génération de réformes institutionnelles basées sur la régionalisation avancée, le Maroc aspire à "mettre en valeur les spécificités locales de ses territoires, promouvoir la bonne gouvernance locale et développer, au niveau des régions, des politiques publiques garantes de l'efficacité de l'intervention de l'Etat et de son partenariat avec les collectivités territoriales".
5/ dans ce cadre, a noté le Souverain marocain, "la ville de Dakhla est vouée à devenir une plateforme d'échanges multiformes entre l'Atlantique, le Maghreb et le Sahel".
Ainsi donc, Dakhla, devient une cité qui s'érige progressivement comme la future locomotive de la réussite économique et sociale d'un Maroc en développement continu mais aussi d'une Afrique qui veut s'imposer sur le plan international.
C'est pourquoi, le choix du thème de ce conclave n'est pas fortuit. Il répond parfaitement aux attentes des peuples africains qui ont compris que seuls Sa Majesté le Roi Mohammed VI et le peuple marocain sont à même d'assurer la réussite de ce challenge qui garantit la paix, la sécurité, la démocratie, la liberté, la tolérance religieuse, le respect de l'autre, la dignité, le bien-être, le progrès et l'indépendance alimentaire, énergétique, industrielle, socio-éducative et sanitaire.
Avec l'organisation de la 30ème session annuelle du "Crans-Montana Forum", du Forum des Femmes Africaines et celui de l'Afrique Atlantique à Dakhla ainsi que la forte présence des décideurs politiques et économiques venus du monde entier, le Royaume du Maroc, grâce à la vision stratégique de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, vient de donner au Continent africain toutes ses lettres de noblesse et la place qui lui est due sur la scène internationale ce que l'Union Africaine, et elle doit le reconnaître, n'a jamais réussi à réaliser. Une organisation pan-africaine qui doit être repensée et reconstruite.
Ce triple évènement de portée internationale, organisé dans une ville des provinces sahariennes marocaines par Forum Crans-Montana, une Organisation internationale, en partenariat avec l'ISESCO, un organisme de l'OCI, et l'UNESCO, une Institution qui relève de l'ONU, constitue de facto une reconnaissance internationale de la légitimité des droits historiques et juridiques du Royaume du Maroc sur ses territoires sahariens.
36 pays africains sont présents à Dakhla, soit une large majorité des pays constituant l'Union Africain. N'est-ce pas un désavoeu pour le pseudo RASD ? N'est-ce pas également une reconnaissance de facto de la souveraineté du Maroc sur ses provinces sahariennes ?
Le temps est venu pour l'Union Africaine de réparer son injustice à l'endroit du Maroc en expulsant l'entité fantoche qui y fut admise en violation flagrante de ses statuts et à coup de centaines de millions de pétrodollars algériens et libyens.
Aujourd'hui, la très grande majorité des Etats africains demandent avec insistance le retour du Maroc au sein de l'organisation africaine pour y occuper son siège qu'il a dû quitter en novembre 1984 suite à une lâche conspiration algéro-libyenne.
Telles est la seule réponse aux deux questions posées en supra.
Le Crans-Montana Forum de Dakhla est un énorme succès mais aussi une retentissante défaite diplomatique algéro-polisarienne. Du jamais vu depuis l'indépendance algérienne en 1962 !
Une arrogance algérienne et de ses pantins polisariens qui vient d'être battue à plate couture par les vertus du Crans-Montana Forum de Dakhla et de la population sahraouie marocaine.
Que d'argent et d'énergie perdus pour une cause perdue et qui auraient pu être investis en Algérie pour le bien-être du peuple algérien qui souffre en silence !
Mais que peut faire le peuple algérien, et je cite José Bové, une grande figure politique et altermondialiste française, "face à un système politique corrompu et répressif" ? Triste question !
Une Algérie dont le Sud est devenu, a laissé entendre l'Ambassadeur de France au Canada, Nicolas Chapuis dans un entretien accordé le 11 mars 2015 au site 45eNord.ca, "un fardeau pour la France" en raison de sa lutte contre le terrorisme qui sévit dans cette partie du Nord de l'Afrique, confirmant implicitement une présence militaire de la France dans cette région algérienne.
Farid Mnebhi.
Près de 112 Etats sont représentés à un niveau élevé (36 d'Afrique, 30 d'Asie, 31 d'Europe et 15 d'Amérique) en plus d'environ 20 organisations régionales et internationales soit un total de 800 personnes dont une centaine de Chefs d'Etat, de Chefs de Gouvernement, de Ministres, de Présidents de Parlement et de parlementaires.
S’y ajoutent des anciens Chefs d'Etat et de Gouvernement, des hauts responsables internationaux et des représentants de structures régionales et internationales.
C'est ainsi que sont présents à ce rendez-vous planétaire, placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Prince du Grand Duché du Luxembourg, le Secrétaire Général adjoint de l'ONU, Philippe Douste Blazi, le Président de Macédoine, Gjorge Ivanov, les Premiers Ministres guinéen, des Iles Salomon, des Iles de la Dominique,les Ministres des Affaires Etrangères du Benin, des Comores, du Niger, du Togo, du Ministre égyptien de l'Information, du Président de la Cour Suprême du Tchad, du Président du Conseil Economique et Social sénégalais, d'un Conseiller Spécial du Président Kenyan, des anciens Chefs d'Etat d'Albanie, du Chili, Ricardo Lagos, d'Uruguay, Hugo Mendez,, de Croatie, Stéphane Misic, des anciens Premiers Ministres espagnol, José Luis Rodrigues Zapatero, Malien, des anciens Ministres des Affaires Etrangères du Kenya, du Burkina Faso, de l'ancien vice-Président de l'Assemblée Constituante tunisienne, Abid Larbi, de l'ancien Ministre des Finances mauritanien, Kane Ousmane, ainsi que bien d'autres personnalités et représentants de la société civile et de la presse internationale.
Aujourd'hui, tous les regards sont tournés vers cette ville du Sud du Sahara marocain qui fait la une de la presse nationale et internationale, tant écrite qu'audio et télévisuelle mais aussi de la presse en ligne et des réseaux sociaux.
Un succès unique dans les 30 ans d'histoire du Forum Crans-Montana qu'ont tenu à souligner les dirigeants de cette organisation internationale basée à Genève.
Aussi, le 13 mars 2015, jour de l'ouverture officielle de la session du Crans-Montana Forum, fut marqué par un message du Roi du Maroc lu par le Chef du Gouvernement marocain qui peut se résumer comme suit :
1/ le Souverain marocain, a, tout d'abord, souhaité aux participants la bienvenue au Maroc et notamment à Dakhla, Perle du Sud du Royaume du Maroc et les a félicités pour leur choix pertinent de la thématique centrale de ce forum.
2/ le Chef de l'Etat marocain a, par la suite, rendu un vibrant hommage à Monsieur Jean Paul Carteron suite à son implication au service de nobles causes à travers le dialogue et le partage.
3/ le Souverain marocain a souligné que la ville de Dakhla est appelée, dans ce cadre, à avoir une position centrale dans le futur hub économique africain qui sera dédié au service de la paix et de la stabilité dans la région subsaharienne.
4/ le Roi du Maroc a, dans ce sens, fait savoir qu'à travers ce nouveau modèle, qui procède d'une vision politique ambitieuse à la faveur d'une nouvelle génération de réformes institutionnelles basées sur la régionalisation avancée, le Maroc aspire à "mettre en valeur les spécificités locales de ses territoires, promouvoir la bonne gouvernance locale et développer, au niveau des régions, des politiques publiques garantes de l'efficacité de l'intervention de l'Etat et de son partenariat avec les collectivités territoriales".
5/ dans ce cadre, a noté le Souverain marocain, "la ville de Dakhla est vouée à devenir une plateforme d'échanges multiformes entre l'Atlantique, le Maghreb et le Sahel".
Ainsi donc, Dakhla, devient une cité qui s'érige progressivement comme la future locomotive de la réussite économique et sociale d'un Maroc en développement continu mais aussi d'une Afrique qui veut s'imposer sur le plan international.
C'est pourquoi, le choix du thème de ce conclave n'est pas fortuit. Il répond parfaitement aux attentes des peuples africains qui ont compris que seuls Sa Majesté le Roi Mohammed VI et le peuple marocain sont à même d'assurer la réussite de ce challenge qui garantit la paix, la sécurité, la démocratie, la liberté, la tolérance religieuse, le respect de l'autre, la dignité, le bien-être, le progrès et l'indépendance alimentaire, énergétique, industrielle, socio-éducative et sanitaire.
Avec l'organisation de la 30ème session annuelle du "Crans-Montana Forum", du Forum des Femmes Africaines et celui de l'Afrique Atlantique à Dakhla ainsi que la forte présence des décideurs politiques et économiques venus du monde entier, le Royaume du Maroc, grâce à la vision stratégique de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, vient de donner au Continent africain toutes ses lettres de noblesse et la place qui lui est due sur la scène internationale ce que l'Union Africaine, et elle doit le reconnaître, n'a jamais réussi à réaliser. Une organisation pan-africaine qui doit être repensée et reconstruite.
Ce triple évènement de portée internationale, organisé dans une ville des provinces sahariennes marocaines par Forum Crans-Montana, une Organisation internationale, en partenariat avec l'ISESCO, un organisme de l'OCI, et l'UNESCO, une Institution qui relève de l'ONU, constitue de facto une reconnaissance internationale de la légitimité des droits historiques et juridiques du Royaume du Maroc sur ses territoires sahariens.
36 pays africains sont présents à Dakhla, soit une large majorité des pays constituant l'Union Africain. N'est-ce pas un désavoeu pour le pseudo RASD ? N'est-ce pas également une reconnaissance de facto de la souveraineté du Maroc sur ses provinces sahariennes ?
Le temps est venu pour l'Union Africaine de réparer son injustice à l'endroit du Maroc en expulsant l'entité fantoche qui y fut admise en violation flagrante de ses statuts et à coup de centaines de millions de pétrodollars algériens et libyens.
Aujourd'hui, la très grande majorité des Etats africains demandent avec insistance le retour du Maroc au sein de l'organisation africaine pour y occuper son siège qu'il a dû quitter en novembre 1984 suite à une lâche conspiration algéro-libyenne.
Telles est la seule réponse aux deux questions posées en supra.
Le Crans-Montana Forum de Dakhla est un énorme succès mais aussi une retentissante défaite diplomatique algéro-polisarienne. Du jamais vu depuis l'indépendance algérienne en 1962 !
Une arrogance algérienne et de ses pantins polisariens qui vient d'être battue à plate couture par les vertus du Crans-Montana Forum de Dakhla et de la population sahraouie marocaine.
Que d'argent et d'énergie perdus pour une cause perdue et qui auraient pu être investis en Algérie pour le bien-être du peuple algérien qui souffre en silence !
Mais que peut faire le peuple algérien, et je cite José Bové, une grande figure politique et altermondialiste française, "face à un système politique corrompu et répressif" ? Triste question !
Une Algérie dont le Sud est devenu, a laissé entendre l'Ambassadeur de France au Canada, Nicolas Chapuis dans un entretien accordé le 11 mars 2015 au site 45eNord.ca, "un fardeau pour la France" en raison de sa lutte contre le terrorisme qui sévit dans cette partie du Nord de l'Afrique, confirmant implicitement une présence militaire de la France dans cette région algérienne.
Farid Mnebhi.