Depuis quelques semaines, des informations de plus en plus concordantes font état d’un renforcement humain des terroristes islamistes qui sévissent dans la bande sahélo-saharienne et tout particulièrement au Mali, où ils ont investi sa partie septentrionale.
C’est ainsi que des centaines de jihadistes, venant des camps du polisario de Tindouf, du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, du Soudan, ont déboulé récemment au Nord du Mali, occupé par des islamistes armés, pour renforcer les rangs des terroristes islamistes d’AQMI et du MUJAO et se battre à leur côté dans la perspective de l'envoi dans la région d'une force armée étrangère.
De plus, afin de renforcer ses rangs, le groupe islamiste Ansar Dine, contrôlant de larges zones du nord Mali, a tenu des discussions pour réactiver son accord avec ses ex-alliés touaregs séparatistes du MNLA.
Face à cette nouvelle donne, de nombreux pays s’interrogent sur le rôle de l’Algérie dans le pourrissement de la situation au Mali et dans le climat d’insécurité dangereux qui menace la sécurité et la stabilité de la région générés par les actes terroristes.
Ces pays n’ont pas hésité à mettre en relief la responsabilité du polisario et de l’Algérie dans cette escalade de la violence, tant à travers son mépris du droit international que dans son laxisme dans le contrôle de son territoire et des camps du polisario de Tindouf que dans la lutte contre le terrorisme et la criminalité transnationale.
L’Europe et les pays de la région subissent de plein fouet les méfaits de la drogue en provenance de la région sahélo-saharienne, via l’Algérie en raison de la porosité chronique de ses frontières méridionale et orientale.
Le Mali en premier lieu où le trafic de stupéfiants et le kidnapping sont devenus la principale source d’approvisionnement des organisations terroristes, notamment le MUJAO, dernier-né de la poudrière malienne.
Un immobilisme algérien qui exaspère certains pays voisins, qui craignent une contagion des violences sur leur territoire et que le Sahel ne devienne un terreau fertile pour le terrorisme.
En effet, les pays européens, France en tête, et les Etats-Unis craignent la création dans le nord du Mali d'un sanctuaire pour les islamistes radicaux d'Al Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI).
Une menace qui va bien au-delà du continent africain et ce, avec la complicité flagrante de l’Algérie et la mise à disposition aux groupes terroristes d’AQMI et du MUJAO de nombreux combattants séparatistes sahraouis issus des camps de Tindouf situés en plein territoire algérien.
Aujourd’hui, la communauté internationale appelle l’Algérie à prendre sérieusement ses responsabilités et à assumer ses obligations afin d’assurer la sécurité sur son territoire, d’y éliminer toute présence terroriste et subversive, de surveiller de manière efficiente ses frontières et de mettre un terme aux liaisons dangereuses entre les séparatistes du polisario et les terroristes islamistes qui sévissent dans la région.
C’est ainsi que des centaines de jihadistes, venant des camps du polisario de Tindouf, du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, du Soudan, ont déboulé récemment au Nord du Mali, occupé par des islamistes armés, pour renforcer les rangs des terroristes islamistes d’AQMI et du MUJAO et se battre à leur côté dans la perspective de l'envoi dans la région d'une force armée étrangère.
De plus, afin de renforcer ses rangs, le groupe islamiste Ansar Dine, contrôlant de larges zones du nord Mali, a tenu des discussions pour réactiver son accord avec ses ex-alliés touaregs séparatistes du MNLA.
Face à cette nouvelle donne, de nombreux pays s’interrogent sur le rôle de l’Algérie dans le pourrissement de la situation au Mali et dans le climat d’insécurité dangereux qui menace la sécurité et la stabilité de la région générés par les actes terroristes.
Ces pays n’ont pas hésité à mettre en relief la responsabilité du polisario et de l’Algérie dans cette escalade de la violence, tant à travers son mépris du droit international que dans son laxisme dans le contrôle de son territoire et des camps du polisario de Tindouf que dans la lutte contre le terrorisme et la criminalité transnationale.
L’Europe et les pays de la région subissent de plein fouet les méfaits de la drogue en provenance de la région sahélo-saharienne, via l’Algérie en raison de la porosité chronique de ses frontières méridionale et orientale.
Le Mali en premier lieu où le trafic de stupéfiants et le kidnapping sont devenus la principale source d’approvisionnement des organisations terroristes, notamment le MUJAO, dernier-né de la poudrière malienne.
Un immobilisme algérien qui exaspère certains pays voisins, qui craignent une contagion des violences sur leur territoire et que le Sahel ne devienne un terreau fertile pour le terrorisme.
En effet, les pays européens, France en tête, et les Etats-Unis craignent la création dans le nord du Mali d'un sanctuaire pour les islamistes radicaux d'Al Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI).
Une menace qui va bien au-delà du continent africain et ce, avec la complicité flagrante de l’Algérie et la mise à disposition aux groupes terroristes d’AQMI et du MUJAO de nombreux combattants séparatistes sahraouis issus des camps de Tindouf situés en plein territoire algérien.
Aujourd’hui, la communauté internationale appelle l’Algérie à prendre sérieusement ses responsabilités et à assumer ses obligations afin d’assurer la sécurité sur son territoire, d’y éliminer toute présence terroriste et subversive, de surveiller de manière efficiente ses frontières et de mettre un terme aux liaisons dangereuses entre les séparatistes du polisario et les terroristes islamistes qui sévissent dans la région.