Denis Sassou-N’Guesso : « Progressivement, nous sommes en train d’atteindre les objectifs qui étaient prévus » pour l’hôpital général Edith Lucie Bongo Ondimba.
Lorsque nous construisions cet hôpital, c’était aussi dans le but d’obtenir l’installation, ici, d’équipements de pointe. Et, naturellement, avec ces équipements de pointe, on devrait aussi avoir du personnel congolais qualifié. Vous avez vu, avec nous, comment ces Congolais ont opéré des patients. Donc on devait avoir du personnel congolais et étranger hautement qualifié. Dans cet hôpital on vient de voir l’hémodialyse. Vous savez combien de malades souffrant actuellement d’insuffisance rénale sont à l’étranger ?
Donc nous venons de réaliser, ici, la mise en place de ces équipements et aussi d’avoir la présence des personnes qualifiées. L’hémodialyse et les examens du cœur, des interventions très pointues qui ont été aussi réalisées par les cadres congolais formés qui sont rentrés au pays. Il y a aussi l’IRM que nous venons de voir, un autre examen de pointe.
Progressivement, nous sommes en train d’atteindre les objectifs qui étaient prévus pour cet hôpital. Un certain nombre de spécialités qui devaient faire que des malades que nous envoyons d’habitude à l’étranger soient traités ici, au Congo ; pas seulement les congolais, tous les malades africains, d’Afrique centrale par exemple, ou même d’ailleurs. C’était donc le but poursuivi.
Pour ma part, je suis satisfait de voir que ce matériel a été acquis par le gouvernement. C’est un matériel très cher. Je suis surtout satisfait de la prestation des cadres congolais, de bon niveau, qui ont accepté de revenir au pays. C’est aussi cela qu’il faut dire : des cadres congolais qui ont été formés aux frais de l’Etat congolais et qui ont accepté de revenir ici rendre des services à leur peuple. C’est très réconfortant, c’est un beau jour pour moi. Nous entendons poursuivre cet effort.
Il est important que le peuple congolais, qui ne voit que des insuffisances, qui ne voit que ce qui ne va pas, … comprenne que tout ne se fait pas à la fois. Mais, il faut savoir que s’il n’y a pas de vision au niveau du gouvernement, il n’est pas possible de réaliser tout ceci et d’obtenir des résultats. Donc, il y a des efforts qui se font et, avec le temps, on obtiendra d’autres résultats, sans aucun doute.
Donc nous venons de réaliser, ici, la mise en place de ces équipements et aussi d’avoir la présence des personnes qualifiées. L’hémodialyse et les examens du cœur, des interventions très pointues qui ont été aussi réalisées par les cadres congolais formés qui sont rentrés au pays. Il y a aussi l’IRM que nous venons de voir, un autre examen de pointe.
Progressivement, nous sommes en train d’atteindre les objectifs qui étaient prévus pour cet hôpital. Un certain nombre de spécialités qui devaient faire que des malades que nous envoyons d’habitude à l’étranger soient traités ici, au Congo ; pas seulement les congolais, tous les malades africains, d’Afrique centrale par exemple, ou même d’ailleurs. C’était donc le but poursuivi.
Pour ma part, je suis satisfait de voir que ce matériel a été acquis par le gouvernement. C’est un matériel très cher. Je suis surtout satisfait de la prestation des cadres congolais, de bon niveau, qui ont accepté de revenir au pays. C’est aussi cela qu’il faut dire : des cadres congolais qui ont été formés aux frais de l’Etat congolais et qui ont accepté de revenir ici rendre des services à leur peuple. C’est très réconfortant, c’est un beau jour pour moi. Nous entendons poursuivre cet effort.
Il est important que le peuple congolais, qui ne voit que des insuffisances, qui ne voit que ce qui ne va pas, … comprenne que tout ne se fait pas à la fois. Mais, il faut savoir que s’il n’y a pas de vision au niveau du gouvernement, il n’est pas possible de réaliser tout ceci et d’obtenir des résultats. Donc, il y a des efforts qui se font et, avec le temps, on obtiendra d’autres résultats, sans aucun doute.