Quand le parti @MoDeL_djibouti est capable de former des citoyens honnêtes, intègres, sincèrement engagés et patriotes, à l'opposé, le parti-État @RPP_Officiel lègue des individus malhonnêtes, médiocres, opportunistes et corrompus.
Une école citoyenne du MoDeL perturbe le parti-État ce qui illustre la fébrilité du système en place.
À son arrivée au pouvoir, en 1999, l'autocrate IOG, hérita d'une police caractérisée, sous le régime dictatorial de l'oncle, par un manque chronique de personnel, une corruption notoire et une propension à commettre des graves violations des droits de l'homme. Un grand nombre de problèmes et d'abus de pouvoir s'ensuivirent.
Or, le pouvoir politique n'a rien fait pour modifier cette attitude. Il l'a même encouragée, dans la mesure où le régime despotique n'a pas cherché à donner un cadre légal aux arrestations effectuées par la police politique -SDS-, alors même qu'il s'en proclamait partisan.
Cette milice continue cependant d'ignorer les textes et procédures censés garantir le respect des droits de l'homme. Pire, elle continue à mettre en détention des responsables du parti MoDeL, les garanties légales les plus élémentaires, visant à les protéger contre l'arrestation arbitraire et les mauvais traitements, resteront presque sans effet.
Il apparaît par conséquent que celle-ci trouve en fait commode d'invoquer l'école du parti, d'une part pour museler ceux qui dénoncent les détentions illégales dont elle se rend coupable et, d'autre part, pour prolonger la détention des opposants déclarés ou supposés, sans avoir à les traduire en justice.
Ce régime clanico-mafiosi-tribal en place à Djibouti semble avoir mis à profit un systéme de terreur pour forger de toutes piéces des éléments de preuve, dans l'espoir de faire condamner à mort les cadres du parti MoDeL.
Je vous assure de mon appui indéfectible à la promotion et à la défense de vos droits parce que le travail n'est pas fini, bien loin de là.
Une école citoyenne du MoDeL perturbe le parti-État ce qui illustre la fébrilité du système en place.
À son arrivée au pouvoir, en 1999, l'autocrate IOG, hérita d'une police caractérisée, sous le régime dictatorial de l'oncle, par un manque chronique de personnel, une corruption notoire et une propension à commettre des graves violations des droits de l'homme. Un grand nombre de problèmes et d'abus de pouvoir s'ensuivirent.
Or, le pouvoir politique n'a rien fait pour modifier cette attitude. Il l'a même encouragée, dans la mesure où le régime despotique n'a pas cherché à donner un cadre légal aux arrestations effectuées par la police politique -SDS-, alors même qu'il s'en proclamait partisan.
Cette milice continue cependant d'ignorer les textes et procédures censés garantir le respect des droits de l'homme. Pire, elle continue à mettre en détention des responsables du parti MoDeL, les garanties légales les plus élémentaires, visant à les protéger contre l'arrestation arbitraire et les mauvais traitements, resteront presque sans effet.
Il apparaît par conséquent que celle-ci trouve en fait commode d'invoquer l'école du parti, d'une part pour museler ceux qui dénoncent les détentions illégales dont elle se rend coupable et, d'autre part, pour prolonger la détention des opposants déclarés ou supposés, sans avoir à les traduire en justice.
Ce régime clanico-mafiosi-tribal en place à Djibouti semble avoir mis à profit un systéme de terreur pour forger de toutes piéces des éléments de preuve, dans l'espoir de faire condamner à mort les cadres du parti MoDeL.
Je vous assure de mon appui indéfectible à la promotion et à la défense de vos droits parce que le travail n'est pas fini, bien loin de là.