Ébola: Et si le virus était volontairement propagé?

Le mortel virus d’Ébola qui pourrait se propager comme un ‘’ feu de forêt’’ en Afrique serait-il le fait du hasard? La réponse à cette question est difficile à cerner. Beaucoup de sources comme à faire un lien probable entre la propagation de la maladie et un laboratoire américain de recherches biologiques basées en Sierra Leone, l’épicentre de cette terrible maladie qui a déjà causé la mort de plus de 900 personnes en Afrique.

Selon certaines indiscrétions, les américains avaient un programme de recherche sur les agents infectieux graves tels qu’Ébola, le virus Marburg, apparu en Europe dans la ville allemande de Marburg et qui bizarrement, est devenue une maladie endémique en Afrique. En plus de ces deux virus, les américains feraient des recherches en Siéra Leone sur d’autres arénavirus dans le dessein de parer à toute menace sur la santé publique de leur population et faire efficacement front a des attaques de bioterrorisme. Dans leur acharnement de créer des agents pathogènes de biodefense, les américains auraient-ils sciemment ‘’accidentellement’’ échapper le terrible virus d’Ébola? La vraie question est de savoir si les Occidentaux étaient à la base de cette flambée du virus d’Ébola? Les gouvernements des pays africains touchés par ce virus potentiellement mortel sont-ils complices ou des spectateurs impuissants? L’Afrique a-t-elle les moyens pour faire jaillir la lumière sur ce virus et situer les responsabilités?

Même s’il n’existerait pas à l’heure aucun traitement ni vaccin contre le virus Ébola, les américains auraient administrés un des nombreux traitements expérimentaux à leur compatriotes, le Docteur Kent Brantly et Nancy Writebol, tous deux contamines par ce virus lors de leur séjour ‘’humanitaire’’ au Liberia. Coïncidence ou volonté de lutter contre ce virus, le traitement en question est le le ZMapp, financé par le gouvernement américain et l’armée américaine, en collaboration avec les autorités sanitaires canadiennes. Ne nous étonnons pas que le virus fasse son apparition dans l’avenir en Palestine ou quelque part dans le monde où les intérêts américains sont en jeu. Il n’est un secret pour personne, les firmes pharmaceutiques occidentales, attirées comme des hyènes affamées et enivrées par l’odeur de la charogne, misent sur la faiblesse des couts, des contrôles et la corruptibilité des gouvernements africains pour tester leurs produits en Afrique, foulant aux pieds l’éthique et au mépris des normes de sécurité. Que vaut la vie d’un africain contre celle d’un occidental ? Wait and see!

Abbas Kayangar