En fin 2019, les chercheurs, les étudiants du Congo et de l’Afrique centrale auront un cadre approprié pour la recherche portée sur les énergies renouvelables, axe principal de l’action de ce centre qui sera bâti sur une superficie de 2000 mètres carrés. Il est le fruit d’un accord sur la valorisation du gaz entre Eni et le gouvernement congolais. Cet accord prévoit, en effet, la création des projets sociaux d’intérêt public découlant d’un protocole d’accord signé le 31 décembre 2016.
Le but du projet, selon Lorenzo Fiorelli, directeur D’Eni Congo, est de mettre en place des technologies innovantes devant supporter la recherche sur le développement durable et l’approvisionnement des énergies renouvelables, à travers la recherche menée au Congo et en Afrique.
Le choix d’Oyo n’est pas le fruit du hasard, a déclaré Parfait Aimé Coussoud Mavoungou, ministre de la recherche scientifique et de l’innovation technologique, dans son discours de circonstance. Oyo est «le lieu d’initiation du fonds bleu pour le bassin du Congo», a-t-il expliqué, avant d’ajouter que le projet de construction de ce centre «répond à la volonté du gouvernement de créer une plateforme mutualisée regroupant l’enseignement supérieur, la recherche scientifique et technologique et le monde scientifique, à travers la Zones économiques spéciales Oyo-Ollombo».
L’intérêt scientifique du centre est indéniable, a affirmé le ministre Coussoud Mavoungou pour qui la création de ce centre allait modifier «le visage national de la recherche scientifique et l’innovation technologique et constitue une plateforme mutualisée de partage et d’échange d’expérience entre les chercheurs, les enseignants, les étudiants et le monde productif. »
Aimé Parfait Coussoud Mavougou a surtout saisi l’occasion pour exprimer un besoin fondamental pour la survie de la recherche scientifique. Selon lui, face vieillissement du personnel et à l’absence de recrutement des jeunes chercheurs, il y a la nécessité de relever le défi des ressources humaines ». L’institut national de la recherche agronomique devra incessamment construire son siège social à Oyo », ajoutant « ainsi le maillage du pays en structures de recherche… », a relevé le Ministre.
A noter que les travaux de construction de ce joyau scientifique sont financés par ENI-Congo à hauteur de 30 millions de dollars.
Le but du projet, selon Lorenzo Fiorelli, directeur D’Eni Congo, est de mettre en place des technologies innovantes devant supporter la recherche sur le développement durable et l’approvisionnement des énergies renouvelables, à travers la recherche menée au Congo et en Afrique.
Le choix d’Oyo n’est pas le fruit du hasard, a déclaré Parfait Aimé Coussoud Mavoungou, ministre de la recherche scientifique et de l’innovation technologique, dans son discours de circonstance. Oyo est «le lieu d’initiation du fonds bleu pour le bassin du Congo», a-t-il expliqué, avant d’ajouter que le projet de construction de ce centre «répond à la volonté du gouvernement de créer une plateforme mutualisée regroupant l’enseignement supérieur, la recherche scientifique et technologique et le monde scientifique, à travers la Zones économiques spéciales Oyo-Ollombo».
L’intérêt scientifique du centre est indéniable, a affirmé le ministre Coussoud Mavoungou pour qui la création de ce centre allait modifier «le visage national de la recherche scientifique et l’innovation technologique et constitue une plateforme mutualisée de partage et d’échange d’expérience entre les chercheurs, les enseignants, les étudiants et le monde productif. »
Aimé Parfait Coussoud Mavougou a surtout saisi l’occasion pour exprimer un besoin fondamental pour la survie de la recherche scientifique. Selon lui, face vieillissement du personnel et à l’absence de recrutement des jeunes chercheurs, il y a la nécessité de relever le défi des ressources humaines ». L’institut national de la recherche agronomique devra incessamment construire son siège social à Oyo », ajoutant « ainsi le maillage du pays en structures de recherche… », a relevé le Ministre.
A noter que les travaux de construction de ce joyau scientifique sont financés par ENI-Congo à hauteur de 30 millions de dollars.