TUNIS, Tunisie, 17 juillet 2013/ -- Sous l’égide de l’Union africaine (UA), de la BAD (http://www.afdb.org) et de la Commission économique pour l’Afrique (CEA), les dirigeants des principales organisations économiques africaines se réunissent à Tunis le 19 juillet 2013 dans le cadre d’une table ronde de haut niveau pour échanger sur le financement des infrastructures.
Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/african-development-bank-2.png
Les discussions porteront sur la recherche de voies et moyens pour des financements innovants afin de soutenir le développement de l’Afrique et ce, conformément à la vision des leaders africains de “transformer le continent sur les 50 prochaines années. ». C’est dans ce contexte que la réunion de Tunis vise à renforcer la collaboration de la BAD avec les communautés économiques régionales d’une part, et avec les institutions de financement du développement d’autre part.”
Les besoins financiers du cadre stratégique de la transformation de l’Afrique à travers une infrastructure moderne, le Programme pour le développement de l’infrastructure en Afrique, s’élèvent à 68 milliards USD d’ici à 2020. Le « Fonds Afrique 50 » lancé par le président Donald Kaberuka et qui a été salué et soutenu par les ministres des Finances lors des Assemblées annuelles de la BAD en mai 2013 à Marrakech, vise à résorber le déficit des financements des infrastructures sur le continent.
Désormais l’Afrique doit profiter de ses propres réservoirs de capitaux pour financer son développement. En se fondant sur son mandat et sa position avantageuse de catalyseur financier, la BAD s’est engagée à jouer un rôle de premier plan dans cet effort de mobilisation de ressources. er, à travers son « Fonds Afrique 50 », les fonds pour financer le déficit en infrastructures..
Alors que le financement de l’infrastructure régionale s’est fait de manière dispersée et par à-coups, le « Fonds Afrique 50 » ambitionne d’établir un cadre mieux coordonné et délibéré pour accroître les niveaux de financement requis pour accélérer l’agenda de transformation de l’Afrique. Il constitue l’un des moyens qui permettront à des financements innovants d’apporter une solution aux défis de l’Afrique en utilisant ses ressources propres.
Les récentes découvertes de pétrole et de gaz, ainsi que de nouveaux dépôts de minerais dans un certain nombre de pays africains, fournissent une source viable de financement pour le développement de l’infrastructure de l’Afrique, en grande partie à partir de ses ressources endogènes. Si les revenus en découlant sont bien gérés et bien utilisés, ils peuvent être investis dans l’infrastructure essentielle pour la transformation du continent et ainsi contribuer directement à la vision de l’Union africaine de 2063 d’une « Afrique intégrée, prospère et paisible, conduite par ses propres citoyens et représentant une force dynamique dans l’arène mondiale ».
Participeront à la table ronde Mme Nkosazana Dlamini Zuma, présidente de la CUA, M. Carlos Lopes, secrétaire exécutif de l’UNECA, M. Donald Kaberuka, président de la BAD, ainsi que les premiers responsables des communautés économiques régionales et des institutions régionales de financement du développement.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).
Contacts : Chawki Chahed, chargé de communication principal, T. +216 71 10 27 02 / C. +216 98 70 31 68 / [email protected]
À propos du Groupe de la Banque africaine de développement
Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 34 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.
Pour plus d’informations veuillez consulter le site de la BAD : http://www.afdb.org
SOURCE
African Development Bank (AfDB)
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Les discussions porteront sur la recherche de voies et moyens pour des financements innovants afin de soutenir le développement de l’Afrique et ce, conformément à la vision des leaders africains de “transformer le continent sur les 50 prochaines années. ». C’est dans ce contexte que la réunion de Tunis vise à renforcer la collaboration de la BAD avec les communautés économiques régionales d’une part, et avec les institutions de financement du développement d’autre part.”
Les besoins financiers du cadre stratégique de la transformation de l’Afrique à travers une infrastructure moderne, le Programme pour le développement de l’infrastructure en Afrique, s’élèvent à 68 milliards USD d’ici à 2020. Le « Fonds Afrique 50 » lancé par le président Donald Kaberuka et qui a été salué et soutenu par les ministres des Finances lors des Assemblées annuelles de la BAD en mai 2013 à Marrakech, vise à résorber le déficit des financements des infrastructures sur le continent.
Désormais l’Afrique doit profiter de ses propres réservoirs de capitaux pour financer son développement. En se fondant sur son mandat et sa position avantageuse de catalyseur financier, la BAD s’est engagée à jouer un rôle de premier plan dans cet effort de mobilisation de ressources. er, à travers son « Fonds Afrique 50 », les fonds pour financer le déficit en infrastructures..
Alors que le financement de l’infrastructure régionale s’est fait de manière dispersée et par à-coups, le « Fonds Afrique 50 » ambitionne d’établir un cadre mieux coordonné et délibéré pour accroître les niveaux de financement requis pour accélérer l’agenda de transformation de l’Afrique. Il constitue l’un des moyens qui permettront à des financements innovants d’apporter une solution aux défis de l’Afrique en utilisant ses ressources propres.
Les récentes découvertes de pétrole et de gaz, ainsi que de nouveaux dépôts de minerais dans un certain nombre de pays africains, fournissent une source viable de financement pour le développement de l’infrastructure de l’Afrique, en grande partie à partir de ses ressources endogènes. Si les revenus en découlant sont bien gérés et bien utilisés, ils peuvent être investis dans l’infrastructure essentielle pour la transformation du continent et ainsi contribuer directement à la vision de l’Union africaine de 2063 d’une « Afrique intégrée, prospère et paisible, conduite par ses propres citoyens et représentant une force dynamique dans l’arène mondiale ».
Participeront à la table ronde Mme Nkosazana Dlamini Zuma, présidente de la CUA, M. Carlos Lopes, secrétaire exécutif de l’UNECA, M. Donald Kaberuka, président de la BAD, ainsi que les premiers responsables des communautés économiques régionales et des institutions régionales de financement du développement.
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Contacts : Chawki Chahed, chargé de communication principal, T. +216 71 10 27 02 / C. +216 98 70 31 68 / [email protected]
À propos du Groupe de la Banque africaine de développement
Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 34 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.
Pour plus d’informations veuillez consulter le site de la BAD : http://www.afdb.org
SOURCE
African Development Bank (AfDB)