Le Comité de normalisation (CONOR) de la Fédération tchadienne de football association (FTFA) a informé ce 12 janvier 2023 qu'à la veille du match du tournoi de l'UNIFAC, l'équipe de la CAF a décidé de la disqualification des SAO U17.
L'instance africaine de football évoque la présence de Ousmane Diallo, un joueur qu'elle qualifie d'inéligible. Pourtant, les résultats des tests IRM effectués dans une clinique de Douala, recommandés par le directeur exécutif de l'UNIFFAC, prouvent tout le contraire, affirme le CONOR.
Sur les 25 joueurs des SAO U17, sept ont été déclarés inéligibles à la compétition. Ousmane Diallo a été soumis à un second test qui l'a classé dans la catégorie 4, donc éligible.
Au vu des résultats, l'UNIFFAC avait organisé la réunion technique du match qui devait opposer le Tchad au Congo le 12 janvier 2023 à 14 heures. À 22h23, la CAF a fait parvenir un courrier dans lequel elle notifie la disqualification de l'équipe.
Le CONOR juge cette décision incompréhensible et estime qu'elle jette du discrédit sur le football africain et particulièrement l'Afrique centrale. Il affirme qu'il "ne saurait garder le silence" et "condamne fermement cette attitude digne des manoeuvres douteuses".
Une lettre de contestation a été déposée par ses soins devant la CAF.
L'instance africaine de football évoque la présence de Ousmane Diallo, un joueur qu'elle qualifie d'inéligible. Pourtant, les résultats des tests IRM effectués dans une clinique de Douala, recommandés par le directeur exécutif de l'UNIFFAC, prouvent tout le contraire, affirme le CONOR.
Sur les 25 joueurs des SAO U17, sept ont été déclarés inéligibles à la compétition. Ousmane Diallo a été soumis à un second test qui l'a classé dans la catégorie 4, donc éligible.
Au vu des résultats, l'UNIFFAC avait organisé la réunion technique du match qui devait opposer le Tchad au Congo le 12 janvier 2023 à 14 heures. À 22h23, la CAF a fait parvenir un courrier dans lequel elle notifie la disqualification de l'équipe.
Le CONOR juge cette décision incompréhensible et estime qu'elle jette du discrédit sur le football africain et particulièrement l'Afrique centrale. Il affirme qu'il "ne saurait garder le silence" et "condamne fermement cette attitude digne des manoeuvres douteuses".
Une lettre de contestation a été déposée par ses soins devant la CAF.