Illustration © DR
Cet événement de grande envergure, organisé les 13 et 14 octobre 2021 par la Chambre de Commerce et d’Industrie de Dubaï en partenariat avec l'Expo 2020 Dubaï, a accueilli un nombre record de 550 réunions bilatérales entre investisseurs africains et émiratis.
S.E Hamad Buamim, président et PDG de la Chambre de Dubaï, a précisé que 24 800 entreprises africaines sont désormais enregistrées auprès de la Chambre de Dubaï, soit une augmentation de 15,5% par rapport à l'année 2019, ce qui reflété la crédibilité croissante du forum en tant que plateforme pionnière pour l'établissement de partenariats économiques et pour le renforcement des relations commerciales.
"Une fois de plus, le GBF Africa a démontré qu'il s'agissait de la plateforme idéale pour lancer des partenariats, identifier les perspectives et opportunités d'investissement et renforcer la coopération économique entre les entreprises locales et leurs homologues sur le continent africain. Nous sommes convaincus que cette réunion de décideurs influents des deux parties donnera une forte impulsion aux relations bilatérales, en particulier dans la période postpandémique, en établissant des bases solides sur lesquelles s'appuyer dans les étapes à venir", a souligné S.E. Buamim.
Lors du forum, la Chambre de Dubaï a publié un livre blanc intitulé "Untapped opportunity : Deeping trade and investment between sub-Sahara Africa and the GCC", élaboré par l'Economist Intelligence Unit, qui a mis en évidence le grand potentiel commercial inexploité en Afrique. Selon le rapport, les Émirats Arabes Unis représentaient 88% des investissements du CCG en Afrique subsaharienne entre janvier 2016 et juillet 2021, soit 1,2 milliard de dollars.
La fintech, la santé, l'agriculture et le commerce électronique ont été identifiés dans le rapport comme étant des secteurs à fort potentiel où les chefs d'entreprise prévoient une croissance de leurs revenus en 2022. Environ 90% des cadres interrogés ont déclaré s'attendre à ce que la fintech connaisse la plus forte croissance en 2022, suivies par la santé (89%) puis l'agriculture et l'alimentation (87%).
S.E Hamad Buamim, président et PDG de la Chambre de Dubaï, a précisé que 24 800 entreprises africaines sont désormais enregistrées auprès de la Chambre de Dubaï, soit une augmentation de 15,5% par rapport à l'année 2019, ce qui reflété la crédibilité croissante du forum en tant que plateforme pionnière pour l'établissement de partenariats économiques et pour le renforcement des relations commerciales.
"Une fois de plus, le GBF Africa a démontré qu'il s'agissait de la plateforme idéale pour lancer des partenariats, identifier les perspectives et opportunités d'investissement et renforcer la coopération économique entre les entreprises locales et leurs homologues sur le continent africain. Nous sommes convaincus que cette réunion de décideurs influents des deux parties donnera une forte impulsion aux relations bilatérales, en particulier dans la période postpandémique, en établissant des bases solides sur lesquelles s'appuyer dans les étapes à venir", a souligné S.E. Buamim.
Lors du forum, la Chambre de Dubaï a publié un livre blanc intitulé "Untapped opportunity : Deeping trade and investment between sub-Sahara Africa and the GCC", élaboré par l'Economist Intelligence Unit, qui a mis en évidence le grand potentiel commercial inexploité en Afrique. Selon le rapport, les Émirats Arabes Unis représentaient 88% des investissements du CCG en Afrique subsaharienne entre janvier 2016 et juillet 2021, soit 1,2 milliard de dollars.
La fintech, la santé, l'agriculture et le commerce électronique ont été identifiés dans le rapport comme étant des secteurs à fort potentiel où les chefs d'entreprise prévoient une croissance de leurs revenus en 2022. Environ 90% des cadres interrogés ont déclaré s'attendre à ce que la fintech connaisse la plus forte croissance en 2022, suivies par la santé (89%) puis l'agriculture et l'alimentation (87%).