Depuis 20 ans, l'Union africaine (UA) a contribué « à donner vie à cet espoir afin de permettre au continent de réaliser son énorme potentiel », a fait valoir António Guterres, devant le la 35e Assemblée des chefs d'État et de gouvernement de l'organisation régionale, qui se tient à Addis-Abeba ce week-end.
Le chef de l'ONU s'est adressé aux chefs d'État et de gouvernement de l'UA, par le biais d'un message vidéo. Il est représenté dans la capitale éthiopienne par la Vice-secrétaire générale, Amina Mohammed.
M. Guterres a affirmé que la collaboration entre l’Union africaine et l’Organisation des Nations Unies « est plus forte que jamais », avec pour piliers centraux leurs engagements communs autour du Programme de développement durable à l’horizon 2030 et de l’Agenda 2063 (le plan de l'Afrique pour un continent pacifique, intégré et plus prospère).
« L’injustice est profondément ancrée dans les systèmes mondiaux et les Africains en payent le plus lourd tribut », a déclaré le Secrétaire général.
Il a rappelé que le taux de vaccination dans les pays à haut revenu est sept fois plus élevé qu'en Afrique et souligné que « guerre menée contre la nature et l’insuffisance de l’action climatique frappent le plus durement les plus vulnérables ».
Aussi il a déclaré qu'« un système financier mondial moralement en faillite a abandonné les pays du Sud, privant les populations africaines des investissements nécessaires, limitant les perspectives de croissance et enfermant les pays dans une spirale de dettes et de taux d’intérêt exorbitants ».
« Les inégalités immorales qui étouffent l’Afrique alimentent les conflits armés, les tensions politiques, économiques, ethniques et sociales, les atteintes aux droits humains, la violence à l’égard des femmes, le terrorisme, les coups d’État militaires et un sentiment d’impunité », a-t-il poursuivi.
Ainsi, des dizaines de millions de personnes sont déplacées sur le continent et les institutions démocratiques sont en péril, a-t-il souligné.
Le Secrétaire général a ensuite offert le soutien de l'ONU « à l’heure où nous allumons quatre moteurs de redressement ».
Le chef de l'ONU s'est adressé aux chefs d'État et de gouvernement de l'UA, par le biais d'un message vidéo. Il est représenté dans la capitale éthiopienne par la Vice-secrétaire générale, Amina Mohammed.
M. Guterres a affirmé que la collaboration entre l’Union africaine et l’Organisation des Nations Unies « est plus forte que jamais », avec pour piliers centraux leurs engagements communs autour du Programme de développement durable à l’horizon 2030 et de l’Agenda 2063 (le plan de l'Afrique pour un continent pacifique, intégré et plus prospère).
« L’injustice est profondément ancrée dans les systèmes mondiaux et les Africains en payent le plus lourd tribut », a déclaré le Secrétaire général.
Il a rappelé que le taux de vaccination dans les pays à haut revenu est sept fois plus élevé qu'en Afrique et souligné que « guerre menée contre la nature et l’insuffisance de l’action climatique frappent le plus durement les plus vulnérables ».
Aussi il a déclaré qu'« un système financier mondial moralement en faillite a abandonné les pays du Sud, privant les populations africaines des investissements nécessaires, limitant les perspectives de croissance et enfermant les pays dans une spirale de dettes et de taux d’intérêt exorbitants ».
« Les inégalités immorales qui étouffent l’Afrique alimentent les conflits armés, les tensions politiques, économiques, ethniques et sociales, les atteintes aux droits humains, la violence à l’égard des femmes, le terrorisme, les coups d’État militaires et un sentiment d’impunité », a-t-il poursuivi.
Ainsi, des dizaines de millions de personnes sont déplacées sur le continent et les institutions démocratiques sont en péril, a-t-il souligné.
Le Secrétaire général a ensuite offert le soutien de l'ONU « à l’heure où nous allumons quatre moteurs de redressement ».