Le 3 juillet 2022, la CEDEAO a exigé l'établissement d'un chronogramme de transition acceptable au plus tard le 1er août 2022. Elle déplore des progrès insuffisants en ce sens et décide d'imposer des sanctions graduelles au niveau diplomatique, économique et financier.
Les ambassadeurs des États membres de la CEDEAO sont rappelés pour consultations, l'assistance et les transactions financières en faveur de la Guinée sont suspendues et les membres de la transition sont sanctionnés (gel des avoirs financiers, interdiction de voyager).
Ces sanctions visent à faciliter le processus de retour rapide à l'ordre constitutionnel en Guinée, selon la CEDEAO.
Les ambassadeurs des États membres de la CEDEAO sont rappelés pour consultations, l'assistance et les transactions financières en faveur de la Guinée sont suspendues et les membres de la transition sont sanctionnés (gel des avoirs financiers, interdiction de voyager).
Ces sanctions visent à faciliter le processus de retour rapide à l'ordre constitutionnel en Guinée, selon la CEDEAO.