Les femmes et les hommes compétents, patriotes, capables de redresser le pays sur une base démocratique ne manquent pas ! Les vieux routards de la politique Centrafricaine doivent comprendre cette donnée essentielle, sinon, la loi devrait écarter ces gens assoiffés de pouvoir et des avantages inhérents.
Après une gestion calamiteuse et un échec cuisant du pouvoir islamiste de la seleka, les Centrafricains ont opté pour un changement radical et sauterait installé un gouvernement boosté par les patriotes pour redonner à l’Etat les moyens de sauver l’intégrité territoriale du pays et la République et ses acquis. Quelques soient les critiques sur la méthode, le changement forcé s’avère salutaire en comparaison avec le marasme installé par les selekas
La Centrafrique, Nul n’est surpris par son chaos sécuritaire provoqué par le démon DJOTOIDIA. Nous affirmons que la Centrafrique est devenue un second Darfour.
Le ratage de toutes ses transitions, faits dont de la classe politique Centrafricaine entière est responsable. Si la Centrafrique n’arrive pas à trouver sa « solution », pourtant si simple, c’est la seule responsabilité de la seleka. Triste et douloureux bilan des criminels de la seleka : une destruction systémique des acquis et le retour à la case-départ. Malgré les apparences, ne retrouverait plus des conditions favorables pour résoudre ses problèmes économico-politiques et sécuritaires tant que nous Centrafricains ne soyons unanimes. Allons-nous accepter ce scénario catastrophe qui transformerait la Centrafrique en esclave des temps modernes ? Potentiellement, la Centrafrique est en mesure de faire avorter ce complot diabolique si sa veille génération accepte de rentrer chez-elle et d’y rester et de laisser moins vieux et jeunes gérer la Centrafrique. La Centrafrique devra peser rapidement sur le processus de pacification et de réconciliation, condition primordiale de la stabilisation de notre propre pays. La Centrafrique a besoin d’un exécutif fort, appuyé par l’ensemble des Forces vives de la Nation afin de prendre toutes les décisions pouvant remettre le pays sur la bonne voie. Cet exécutif nécessite impérativement une plateforme consensuelle sur les principales problématiques du pays. La sécurité, le mode de gouvernance à installer pour pallier à la défaillance du centralisme sont des thèmes méritant un cadrage clair afin d’éviter perte de temps et une instabilité dangereuse pour l’unité nationale. Cette conférence Nationale Souveraine (CNS) serait la nouvelle et l’unique légitimité légale.
Un exécutif compétent soutenu par toutes les forces politiques et sociales pourrait créer la surprise sur le plan régional. Nous apportons notre fameux soutien à la nouvelle présidente de la transition Centrafricaine.