La mauvaise gouvernance, la corruption et la mauvaise gestion des deniers publics sont autant de facteurs à l'origine du retard dans le développement du pays. Comment peut-on espérer progresser lorsque les dépenses en armement surpassent celles de l'éducation ? Selon la loi de finances de 2023, le budget de la défense a augmenté de 245 % par rapport à celui de l'éducation.
Le développement durable est impossible sans une éducation de qualité. Comment peut-on espérer sortir de la pauvreté avec une population estimée à 18 433 996 personnes, dont 80 % sont illettrées ? À cela s'ajoute la longévité au pouvoir. Le défunt Maréchal du Tchad, Idriss Déby Itno, justifiait ses 32 ans de règne inutile en accusant la France de modifier la constitution pour qu'il reste au pouvoir. Cette déclaration manque de patriotisme et est teintée de mensonge, mais d'autres l'ont prise pour argent comptant.
Après sa disparition, lors de la transition de 3 ans et 6 mois, les nominations de généraux et les promotions de grades se sont multipliées chaque mois. Comment expliquer que dans un pays moins développé, on compte plus de 300 généraux ? C'est une insulte envers le peuple et une preuve manifeste de mauvaise gouvernance.
Malgré les critiques envers la France, il est indéniable que ce sont les dirigeants tchadiens qui sont responsables des souffrances du peuple. Rien ne peut justifier ce sous-développement dans un pays riche en élevage, agriculture, pétrole et or. Comment se fait-il qu'un pays d'une superficie de 1 284 000 km² ne puisse pas garantir la sécurité alimentaire de sa population ? Des milliards sont détournés et placés dans des banques occidentales. Comment peut-on espérer un développement avec des "voleurs de la République" à sa tête ?
Une nation ne peut pas progresser si elle glorifie les détournements de fonds publics. Pointer du doigt la France comme seule responsable du sous-développement est simpliste. D'autres pays pro-français comme la Côte d'Ivoire et le Sénégal ont considérablement avancé en termes d'indépendance alimentaire, d'infrastructures sanitaires et d'éducation.
Il est temps que le peuple tchadien ouvre les yeux. Il est essentiel d'évaluer les 32 ans de règne du régime et les 20 ans d'exploitation pétrolière. Placer la faute sur la France pour nos souffrances équivaut à accuser quelqu'un aux yeux rouges de sorcellerie. Il est vrai que la France a par le passé soutenu des régimes dictatoriaux en Afrique pour préserver ses propres intérêts. Néanmoins, le peuple ne peut pas se dédouaner de sa propre complicité dans sa souffrance.
Le développement durable est impossible sans une éducation de qualité. Comment peut-on espérer sortir de la pauvreté avec une population estimée à 18 433 996 personnes, dont 80 % sont illettrées ? À cela s'ajoute la longévité au pouvoir. Le défunt Maréchal du Tchad, Idriss Déby Itno, justifiait ses 32 ans de règne inutile en accusant la France de modifier la constitution pour qu'il reste au pouvoir. Cette déclaration manque de patriotisme et est teintée de mensonge, mais d'autres l'ont prise pour argent comptant.
Après sa disparition, lors de la transition de 3 ans et 6 mois, les nominations de généraux et les promotions de grades se sont multipliées chaque mois. Comment expliquer que dans un pays moins développé, on compte plus de 300 généraux ? C'est une insulte envers le peuple et une preuve manifeste de mauvaise gouvernance.
Malgré les critiques envers la France, il est indéniable que ce sont les dirigeants tchadiens qui sont responsables des souffrances du peuple. Rien ne peut justifier ce sous-développement dans un pays riche en élevage, agriculture, pétrole et or. Comment se fait-il qu'un pays d'une superficie de 1 284 000 km² ne puisse pas garantir la sécurité alimentaire de sa population ? Des milliards sont détournés et placés dans des banques occidentales. Comment peut-on espérer un développement avec des "voleurs de la République" à sa tête ?
Une nation ne peut pas progresser si elle glorifie les détournements de fonds publics. Pointer du doigt la France comme seule responsable du sous-développement est simpliste. D'autres pays pro-français comme la Côte d'Ivoire et le Sénégal ont considérablement avancé en termes d'indépendance alimentaire, d'infrastructures sanitaires et d'éducation.
Il est temps que le peuple tchadien ouvre les yeux. Il est essentiel d'évaluer les 32 ans de règne du régime et les 20 ans d'exploitation pétrolière. Placer la faute sur la France pour nos souffrances équivaut à accuser quelqu'un aux yeux rouges de sorcellerie. Il est vrai que la France a par le passé soutenu des régimes dictatoriaux en Afrique pour préserver ses propres intérêts. Néanmoins, le peuple ne peut pas se dédouaner de sa propre complicité dans sa souffrance.