Djibouti, dans un pays où les citoyens non pas le même droit. Faut se présenter comme bouffon de la cour du roi pour gagner son pardon et sa miséricorde. La persécution dans tous ces états s’abat maintenant dans la ville de Dikhil.
Il y a quelque jour des jeunes opposants ont manifesté contre la reconduction de la dictature en 2016. Ces jeunes ont été sauvagement arrêté et brutalisé à Dikhil puis écroués à la sinistre prison de Gabode. Tous sa pour avoir fait une manifestation pacifique contre un 4ème mandat.
Lors de la cérémonie de l’Aïd où IOG rappelait fermement que la campagne 2016 n’avait pas commencé. Le 30 Septembre à Dikhil, le parti de l’Etat (Jeunesse RPP) en campagne et comme slogan IOG2016. Le 18 Septembre 2015, un rassemblement pacifiques organisé à Ali-Sabieh par le RPP pour soutenir un éventuel 4ème mandat du président Guelleh. À Ali-Sabieh, malgré la faible participation de la population, les militants pro-régime ont tranquillement pu parader sous protection policière.
Où va le monde ? Pourquoi ceux-là n’ont pas été arrêté ? Pourquoi les force de sécurité ne les ont pas mis en prison puisqu’ils ont commencé une compagne prématurée ? La réponse est simple, tous les endroits où on glorifie la dictature est la bienvenue et ils seront même près a t’assisté en matériel. Jusqu’à aujourd’hui les jeunes de Dikhil (MJO-Okar) sont à la prison de Gabode, sans l’assistance d’un avocat ni d’un médecin.
Cette dictature qui broies des centaines de milliers djiboutiens repose sur une effroyable « machine de mort », en large partie secrète : escadrons de la mort, torture systématique, enlèvements et disparitions, manipulation de la violence des opposants, désinformation.
Djibouti ressemble pour nous à un interminable crépuscule, ou au mieux à une aurore immobile. IOG, aura commis les pires exactions contre les citoyens djiboutiens suspectés d’être opposants. Des forces de sécurité payées pour assurer la sécurité de la population, non !!; les forces de l’ordre ont plutôt tourné ses armes contre de paisibles citoyens. C’est une chose monstrueuse, dans cette cacophonie, les premières victimes de ces atrocités sont les enfants du pays. IOG, RPP, pauvreté, corruption, despote, détention, harcèlement, intimidation, dictature et tyran sont tous du même champ lexical. Que de drames nous sont cachés. Ce régime n’est pas prêt à négocier, ni à vous laisser vivre, ni à vous laisser choisir. Il a tendance a commandé, à mettre le peuple sous son pied et à combattre contre toute contestation de droit.
Je demande à la jeunesse soucieuse du devenir de leur pays, de résisté au pour boire du régime. Ne vous faites pas acheté avec l’argent sale du dictateur. Aillé un minimum de dignité et de courage. Faut savoir que cet argent est le vôtre, vos biens qu’on distribue. Le jeu du système est clair, c’est de maintenir la population dépendante du régime. Rejoignez les militants, battez-vous pour vos droits, battez-vous pour vos biens. C’est vos argents qu’on distribue aux étranger pour qu’il récolte plus de voix électoral. War ne perdez pas vos dignités et rejoignez au côté des combattants.
Il y a quelque jour des jeunes opposants ont manifesté contre la reconduction de la dictature en 2016. Ces jeunes ont été sauvagement arrêté et brutalisé à Dikhil puis écroués à la sinistre prison de Gabode. Tous sa pour avoir fait une manifestation pacifique contre un 4ème mandat.
Lors de la cérémonie de l’Aïd où IOG rappelait fermement que la campagne 2016 n’avait pas commencé. Le 30 Septembre à Dikhil, le parti de l’Etat (Jeunesse RPP) en campagne et comme slogan IOG2016. Le 18 Septembre 2015, un rassemblement pacifiques organisé à Ali-Sabieh par le RPP pour soutenir un éventuel 4ème mandat du président Guelleh. À Ali-Sabieh, malgré la faible participation de la population, les militants pro-régime ont tranquillement pu parader sous protection policière.
Où va le monde ? Pourquoi ceux-là n’ont pas été arrêté ? Pourquoi les force de sécurité ne les ont pas mis en prison puisqu’ils ont commencé une compagne prématurée ? La réponse est simple, tous les endroits où on glorifie la dictature est la bienvenue et ils seront même près a t’assisté en matériel. Jusqu’à aujourd’hui les jeunes de Dikhil (MJO-Okar) sont à la prison de Gabode, sans l’assistance d’un avocat ni d’un médecin.
Cette dictature qui broies des centaines de milliers djiboutiens repose sur une effroyable « machine de mort », en large partie secrète : escadrons de la mort, torture systématique, enlèvements et disparitions, manipulation de la violence des opposants, désinformation.
Djibouti ressemble pour nous à un interminable crépuscule, ou au mieux à une aurore immobile. IOG, aura commis les pires exactions contre les citoyens djiboutiens suspectés d’être opposants. Des forces de sécurité payées pour assurer la sécurité de la population, non !!; les forces de l’ordre ont plutôt tourné ses armes contre de paisibles citoyens. C’est une chose monstrueuse, dans cette cacophonie, les premières victimes de ces atrocités sont les enfants du pays. IOG, RPP, pauvreté, corruption, despote, détention, harcèlement, intimidation, dictature et tyran sont tous du même champ lexical. Que de drames nous sont cachés. Ce régime n’est pas prêt à négocier, ni à vous laisser vivre, ni à vous laisser choisir. Il a tendance a commandé, à mettre le peuple sous son pied et à combattre contre toute contestation de droit.
Je demande à la jeunesse soucieuse du devenir de leur pays, de résisté au pour boire du régime. Ne vous faites pas acheté avec l’argent sale du dictateur. Aillé un minimum de dignité et de courage. Faut savoir que cet argent est le vôtre, vos biens qu’on distribue. Le jeu du système est clair, c’est de maintenir la population dépendante du régime. Rejoignez les militants, battez-vous pour vos droits, battez-vous pour vos biens. C’est vos argents qu’on distribue aux étranger pour qu’il récolte plus de voix électoral. War ne perdez pas vos dignités et rejoignez au côté des combattants.